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Daily Archives

30 mars 2011

A Coeur d'Eau – Femmes au vent

By SociétéNo Comments

Cinq étudiants se mobilisent pour l’autonomisation des femmes dans le monde et traversent l’Atlantique à la voile.

Camille Malderez, Quentin Dantès, Camille Lefèvre, Clémentine Letellier et Honorine Lefèvre constitueront l’équipage solidaire de l’association A Coeur d’Eau pour l’année 2011-2012.
Ils ont entre 22 et 24 ans, et ensemble ils embarqueront sur une Jonque de Plaisance pour huit mois d’engagement et d’aventure à la rencontre des femmes du monde pour en favoriser l’autonomisation.
Au départ de La Rochelle à la mi-septembre 2011, leur voilier effectuera une boucle autour de l’Atlantique et accostera successivement le Portugal, le Maroc, le Sénégal, le Cap vert, la Martinique, la République Dominicaine, Haïti et les Açores.

Informer, sensibiliser et agir
Telle est la mission que se sont donnés ces jeunes passionnés. Informer et sensibiliser, c’est là l’objectif du reportage qu’ils réaliseront tout au long de leur aventure. A travers les huit escales qu’ils feront, ils souhaitent ainsi ramener des images de leurs rencontres pour témoigner des engagements existants afin d’en susciter de nouveaux.

« L’autonomisation des femmes est un défi majeur du XXIe siècle, nous explique Camille Malderez, la présidente de l’association, car dans de nombreux pays, les femmes sont encore très souvent absentes des activités génératrices de revenus ou simplement tenues à l’écart. C’est pour tenter d’y remédier que nous voulons sensibiliser la population française à cette problématique et mettre en avant les actions existantes qui font progresser le mouvement. Nous voulons à travers ce reportage mettre en lumière le combat que certaines femmes mènent au quotidien, héroïque. »

Outre d’informer et de sensibiliser, l’objectif de ces étudiants est aussi d’agir. Forts des expériences qu’ils feront les premiers mois de leur aventure en rencontrant des femmes d’exceptions qui ont fait avancer la cause de l’autonomisation, c’est en Haïti que leur voilier effectuera une avant-dernière étape, plus longue, pour leur permettre cette fois d’agir. A leur tour ils développeront des structures, en partenariat avec des associations locales, pour que les femmes puissent acquérir leur indépendance et leur place dans la société.

Une action durable

« Outre les avantages logistiques que le voilier nous apporte, il nous permet aussi d’inscrire notre démarche dans une dimension durable explique Camille Lefèvre, vice-présidente d’A Coeur d’Eau. Selon Benoit Parnaudeau, notre parrain, cette approche du voyage qui se fait au rythme des éléments et dans le respect de la nature donne une plus-value à l’engagement humain qui en est à l’origine ».

En effet, sur l’eau comme sur les missions, les énergies renouvelables sont à l’honneur. L’équipage souhaiterait ainsi installer des panneaux solaires à bord afin de produire leur propre énergie et c’est une éolienne qu’ils construiront en Haïti pour fournir l’électricité de l’atelier couture qu’ils mettront en place.

Tout cela a un coût

« Pour partir en septembre prochain nous devons rassembler un budget conséquent, raconte la trésorière Honorine Lefèvre. Pour cela, nous sommes à la recherche de partenaires financiers ou logistiques qui auraient envie d’associer leur marque à un projet à la fois solidaire, sportif et durable »

Elles sont d’ailleurs deux étudiantes du CELSA (l’école de référence en communication) à embarquer dans l’aventure qui promettent, rigolent-elles, de « chouchouter leurs sponsors ».

Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre sur leur site internet : www.acoeurdeau.org ou contacter Clémentine au 06 03 21 53 44.

A coeur d’Eau est une association humanitaire née en octobre 2009. Son origine vient d’un constat commun au retour de missions humanitaires selon lequel dans de nombreux pays, les femmes peinent à obtenir une reconnaissance sociale réelle en dépit de l’importance de leur rôle.
C’est donc pour en favoriser l’autonomisation que des étudiants ont choisi de s’engager à leur côté, de partir à leur rencontre dans le but d’informer, de sensibiliser et d’agir.

Retrouvez une vidéo explicative du projet en cliquant ici

Solidarauto49, la mécanique solidaire

By Economie, Revue de presse, SociétéNo Comments

La mobilité, par un transport individuel et adapté reste une problématique actuelle pour les personnes en situation de précarité, pour qui les finances du foyer ne permettent plus de posséder un véhicule ou de réaliser les réparations nécessaires pour circuler en toute sécurité.
Disposer d’un véhicule est fondamental pour accéder à un métier ou le conserver, surtout quand les offres d’emploi ne correspondent pas aux horaires des moyens de transports traditionnels. L’exclusion sociale et l’isolement sont parfois la résultante des problèmes de mobilité rencontrés par les populations les plus démunies.

S’appuyant sur ce constat, le Secours Catholique a créé l’association Solidarauto 49 avec pour projet de faciliter l’accès à la mobilité des plus démunis. Cette association a ouvert début octobre 2010 un garage social et solidaire, situé dans l’agglomération d’Angers (49), qui propose l’entretien, la réparation et la vente de véhicules à tarif préférentiel aux personnes à faibles ressources. Solidarauto 49 est aussi une entreprise d’insertion qui donne la possibilité à des personnes en rupture avec le monde du travail de retrouver une situation stable et durable.

Pour permettre à son activité de se dévelloper, Solidarauto est à la recherche de dons de véhicules. Les voitures usagées seront remises aux normes par les mécaniciens en insertion du garage et attribuées à des personnes en difficulté. L’association est reconnue d’intérêt général, les donateurs peuvent donc bénéficier d’une déduction fiscale.

Pour en savoir plus…

Mardi de l'Atelier : l'émergence d'une ressourcerie

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Vous êtes porteur d’un projet de réemploi/recyclage? Vous souhaitez introduire une composante insertion professionnelle dans ce projet?

Venez assister à l’atelier présentant l’émergence d’une ressourcerie en Seine-Saint-Denis. Le porteur de projet de expliquera les principaux facteurs ayant permis sa création.

Le syndicat local de collecte des déchets, partenaire décisif du projet apportera un éclairage complémentaire sur la mobilisation des acteurs, l’étude de marché et les modalités de contractualisation avec la ressourcerie.

Si vous souhaitez participer à cet atelier, nous vous remercions de vous préinscrire en completant le formulaire sur le site de l’Atelier.

Bionoor, le commerce équitable pour lutter contre le désert

By Revue de presseOne Comment

Bionoor est née d’un rêve : celui de Hadj Khelil, jeune Algérien travaillant en salles de marchés à la City de Londres. Las d’un environnement qui ne lui ressemble plus, il décide à 27 ans de tout plaquer pour repartir à zéro. Une démarche autant spirituelle qu’intellectuelle, se voulant un retour à des valeurs plus tangibles comme la terre.
Il se réinstalle en Seine-Saint-Denis, et son père lui souffle l’idée de valoriser l’exploitation familiale, vieille de plus de deux siècles et basée à Ouargla, dans le sud algérien. Le rêve prend forme en 2002 avec la création de Bionoor, sur la base d’une activité de commerce engagé et bio.

L’activité de la société s’organise autour de deux coeurs de métier :
* le commerce éthique de produits issus de l’agriculture biologique ou raisonnée
* la compensation carbone, à travers la plantation d’arbres dans des écoles africaines situées en zones de déforestation.

*A l’origine de l’entreprise, il y a la production de dattes bio et leur commercialisation équitable. Bionoor est la première société à avoir ouvert une telle activité en Algérie.
Aujourd’hui, son catalogue contient plus de 50 références, avec des produits provenant de divers pays du Sud au Nord, dont la France.
La boutique Bionoor est accessible en ligne via son site : www.bionoor.com. Et ses produits sont actuellement distribués dans les épiceries fines Fauchon et la grande distribution.

*La filière compensation carbone de Bionoor est née en 2005. Bionoor encadre des pépinières dans 4 pays africains, et a planté plus de 5 000 arbres dans 5 pays en 2010. Son objectif pour 2014 : 50 000 arbres plantés !

En 2006, Bionoor a été reconnu :
Lauréat Talents de la création d’entreprise
Lauréat du CréaRîf (Conseil Régional d’Île de France pour le soutien de l’économie sociale et solidaire)

Pour en savoir plus : le site de Bionoor

L'eau: une ressource, un défi

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Après la course au pétrole, la bataille de l’eau ? Cette denrée alimentaire est tellement indispensable à notre quotidien, vitale même, qu’il paraît impensable d’en manquer. Pourtant certains experts tirent la sonnette d’alarme. Gaspillée, polluée et monopolisée par les uns, cette ressource aussi rare qu’un métal précieux fait défaut à 1,2 milliard d’individus. Plus de 8 millions de personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau. Sa gestion durable et équitable constitue l’un des grands défis de l’humanité. 
Ce 37ème « Alter mardis : Parlons Solutions » s’interroge sur l’avenir de « l’or bleu » en donnant un coup de projecteur sur des solutions innovantes présentées dans l’épisode 12 de la série documentaire « Artisans du Changement II », suivi d’un débat en présence de :
• Emmanuel Poilane, Directeur de France Libertés
• Jean-Fabrice Mathieu, représentant de 1001 Fontaines pour demain
• Frédéric Naulet, Chargé de projets/ Etudes Eau Potable et Assainissement au Gret
• Rencontre animée par Sylvain Braun, réalisateur du documentaire

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

Retrouvez la nouvelle page Facebook des « Alter mardis: Parlons Solutions » pour toujours plus d’infos sur nos rencontres (programme, podcasts, vidéos et actu du secteur…) et notamment le compte-rendu du dernier événement « Quelles convergences pour un plus grand impact social ? »

Après les divers chocs pétroliers subis depuis les années 70, le prochain siècle pourrait malheureusement connaître des états d’hydroconflictualités partout où l’eau se fait rare. La pression industrielle, agricole et touristique, la croissance démographique, la forte urbanisation des pays en voie de développement et le changement climatique… Tous ces facteurs entremêlés conduisent au pillage de l’eau, à la pollution de certaines nappes phréatiques et des gaspillages annonciateurs de sévères pénuries. Ces problèmes liés à l’eau touchent tant les pays riches que les nations pauvres. Malheureusement les gouvernements ferment les yeux et n’intègrent pas la gestion de l’eau dans leurs politiques. De plus, face aux manoeuvres de certaines multinationales pour faire main basse sur cette ressource, les populations les plus démunies n’ont pas accès à l’eau potable. Les enfants sont les premières victimes de cette injustice. 400 millions, soit un cinquième des enfants dans le monde, ne disposent pas du minimum vital en eau potable. Capter l’eau dans les profondeurs du sol, construire des barrages pour la stocker, creuser des canaux et détourner les cours d’eau : un luxe que les pays pauvres ne peuvent s’offrir.

Certains apportent déjà des réponses à cette crise bleue. Sylvain Braun présente trois pionniers du changement qui défient par leurs innovations l’accessibilité et la gestion de notre ressource numéro 1. Le Péruvien Juan Carlos Calizaya Luna a inventé un système de toilettes écologiques, tout en permettant l’établissement d’une chaîne de compétences au niveau local, la création de nouveaux emplois et la formation de maîtres d’oeuvre au niveau local. Quant au Français Thierry Jacquet, il pallie au coût du traitement des eaux usées grâce à sa société Phytorestore qui transforme les eaux usées en eau potable, dépollue l’air et change les boues d’épuration en compost, par le biais de jardins filtrants économiques, écologiques et esthétiques. Enfin Lo Chay a rendu l’eau potable accessible aux populations cambodgiennes, tout en leur offrant la formation et les outils nécessaires à l’établissement de centres de production et de distribution d’eau potable.

Quant à nos quatres invités ils se poseront la question de l’accès, de l’utilisation, de la gestion et du coût de l’eau. Emmanuel Poilane expliquera son combat pour faire de l’accès à l’eau pour tous un droit fondamental et inaliénable de l’homme. Il posera la question du prix et de la transparence de sa gestion. Jean-Fabrice Mathieu, associé de Lo Chay, rebondira sur les images présentant le modèle vertueux de 1001 Fontaines qui permet à 30 000 personnes de bénéficier d’une eau potable à leur domicile et dans les écoles. Quant à Frédéric Naulet, il nous expliquera comment le Gret met en oeuvre des programmes d’accès à l’EPA (Eau potable et Assainissement) dans des pays du monde entier.
Quelles politiques à échelle internationale et nationale doivent-être mises en oeuvre ? Quels comportements individuels adopter ? Comment financer sa distribution et son assainissement ? Est-ce qu’une guerre de l’eau aura lieu? Venez nombreux répondre à l’appel du défi de demain !

Appel à projets 2011 des Espoirs du Management

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Les Espoirs du Management sont décernés chaque année à des managers convaincus que le bien être des salariés accroît les performances de l’entreprise. Les initiatives primées dans des entreprises publiques et privées doivent représenter un bénéfice économique pour l’entreprise, pour les collaborateurs, et être transposables.

Le jury, présidé par Jacques Rigaud et composé d’experts en ressources humaines et management, retiendra quatre initiatives. Elles seront présentées le 16 juin 2011 sous forme de courts films au public qui votera en direct pour désigner le lauréat.

Plus d’informations sur www.lesespoirsdumanagement.com

GreenGo, à la recherche des Quartiers verts

By SociétéNo Comments

Le projet « Quartiers verts…un monde durable » réunit deux amis autour d’un voyage d’étude sur l’urbanisme durable autour du monde. Pendant 12 mois, ils rencontreront, en Amérique Latine, Asie et Océanie, différentes initiatives méconnues et innovantes d’urbanisme durable. Ces deux explorateurs diffuseront ensuite un retour d’expérience sur les initiatives observées, tant auprès des professionnels que du grand public.
Pour en savoir plus rendez-vous sur www.asso-greengo.com

Une hotline pour les sourds avec Free

By Revue de presse, SociétéNo Comments

4 millions de français sont sourds ou malentendants. Cela les privait jusqu’ici de services élémentaires comme par exemple les lignes téléphoniques administratives ou d’assistance technique. Plusieurs associations ou entreprises fournissent aujourd’hui des services adaptés à ce public.

C’est le cas par exemple de DEAFI, une entreprise citoyenne créée pour et avec des sourds, qui vient de mettre en place avec le fournisseur d’accès à Internet Free une « Deafiline », hotline vidéo en langue des signes, par chat, sms ou mail.

L’intérêt de cette initiative va bien au-delà d’un simple service pour les sourds. En effet, le nouveau métier de « Vidéo-conseiller » crée des d’emplois pour une population souvent considérée comme « inemployable ». Pour DEAFI, un conseiller clientèle a pour vocation de communiquer efficacement avec ses clients, et qui mieux qu’un sourd peut communiquer efficacement avec un sourd ? Un public exclu de la communication orale devient ainsi un public d’experts en gestion de la relation clientèle.

>Le 23 mars 2011, La DeafiLine a reçu le prix de l’initiative remarquable des Argus d’Or de l’assurance.

Pour en savoir plus : http://www.deafi.com/

Une pépinière durable et solidaire au Mozambique

By Environnement, Revue de presse, SociétéNo Comments

Nous sommes 11 étudiants futurs diplômés de l’ISTOM, école d’ingénieur en agro-développement international. Nous avons monté un projet innovant visant à mettre en place une pépinière pilote dans le parc national du Limpopo au Mozambique. Nous recherchons des soutiens pour mener à bien ce projet.

L’équipe : Istom Student Environmental Expertise (ISEE)
ISEE est une association loi 1901 que nous avons montée. Nous travaillons depuis plus de 4 ans dans les domaines de l’agronomie, des sciences sociales et de l’environnement et capitalisons de nombreuses expériences dans divers projets de développement à travers le monde.
Notre équipe s’est fédérée autour du double enjeu de conservation de la biodiversité et du développement socio-économique des populations. Pour y répondre, ISEE oeuvre pour l’intégration des populations locales dans les aires naturelles protégées. C’est dans cet objectif que, depuis un an, l’association a développé un partenariat avec le parc national du Limpopo au Mozambique.

Notre partenaire local : Parc National du Limpopo
Ce parc s’insère au sein d’une entité supérieure, le Parc Transfrontalier du Grand Limpopo (GLTP) qui a vu le jour en 2002. Ce parc pour la Paix inclut le Parc National du Limpopo au Mozambique, le Parc National du Kruger en Afrique du Sud et le Parc National du Gonarezhou au Zimbabwe, formant la plus grande aire protégée du monde.
Le développement du tourisme est un objectif majeur du parc. Pour y répondre, il est nécessaire d’entretenir les ressources naturelles pour assurer la pérennité et la renommée de l’aire protégée.
Le Programme d’Appui Communautaire (PAC), fondé et financé par l’Agence Française du Développement (AFD), dans lequel l’association s’insère, est un outil essentiel. Il prévoit l’amélioration des conditions de vie des populations et la promotion de pratiques plus respectueuses de l’environnement, par une gestion participative des populations.

Un constat
Environ 100.000 personnes sont présentes dans le parc. Afin de répondre à leurs besoins élémentaires, les populations prélèvent les ressources arboricoles de l’aire protégée: les villages sont construits en bois, du charbon est utilisé pour la cuisine et les fruits comestibles sont consommés.

Actuellement la surexploitation de ces ressources par les populations remet en cause la durabilité de l’aire protégée. Il existe alors un conflit d’intérêts entre conservation de la biodiversité et développement socio-économique des populations locales.

Une solution
La mise en place d’une pépinière est une des solutions identifiées par les gestionnaires de l’aire protégée pour diminuer ce conflit entre l’homme et la nature. Nous sommes ainsi chargés d’étudier et de mettre en place une pépinière pilote au sein de plusieurs villages du parc. Près de 400 familles seront impliquées dans le projet. Les plants issus de la pépinière seront implantés au coeur des espaces cultivés des différents villages.
Cette association d’arbres, de céréales et de légumes recrée un environnement stable et durable. Il s’agit d’un système dit d’agro-foresterie.

Notre projet
Ainsi les populations pourront produire leurs propres ressources : fruits comestibles, charbon, bois de construction, ce qui réduira les prélèvements d’espèces arboricoles protégées. Ces ressources seront directement consommées par les familles ou bien vendues sur les marchés locaux.
Cette action permettra de réduire la pauvreté et la vulnérabilité des populations locales en leur assurant une production vivrière durable tout en créant des activités génératrices de revenus. Devenant autonomes, les populations auront un impact bénéfique sur le parc. D’autres parts, ces plants pourront servir au reboisement des zones dégradées.

Notre action
Nous préparons ce projet depuis un an en étroite collaboration avec les responsables du parc. Ce travail préalable nous permet d’anticiper au mieux les actions sur le terrain et ainsi remplir nos objectifs. La phase terrain se déroulera du 15 Juin au 15 Aout 2011 dans le parc. Elle consistera à :

o Réaliser l’étude du milieu et des pratiques agricoles locales ;
o Elaborer le plan de gestion de la pépinière et d’intégration des arbustes dans le système agro-forestier ;
o Former des agriculteurs à la gestion et l’entretien de la pépinière ;
o Etudier les débouchés des fruits produits ;
o Mettre en place la pépinière.
A terme, cette pépinière sera reproduite et adaptée à chaque village, dans l’ensemble du parc.

Contact mail :
project.isee@gmail.com

Adresse postale :
ISTOM
MJE – ISEE
32, boulevard du port
95 000 Cergy

Contact téléphonique :
06 85 18 36 87

Page Facebook :
Isee Limpopo

Plateforme de don :
http://isee.aiderenligne.fr/Parc-national-du-limpopo.html

Un film pour savoir accompagner les malvoyants

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Qui ne s’est jamais senti mal à l’aise pour accompagner une personne aveugle ou malvoyante ? Comment se comporter vis-à-vis d’elle dans les différentes situations de la vie quotidienne : dans la rue, au travail, en réunion ou encore au restaurant ? C’est pour répondre à cette question que l’Association Valentin Haüy a réalisé le film « Un regard pour deux, conseils à l’usage de ceux qui voient ».

Ce court-métrage de 18 minutes voulu et réalisé par l’AVH montre les bons gestes pour accompagner les personnes déficientes visuelles au travers de certains aspects de leur vie quotidienne. Il donne quelques repères afin de mieux vivre ensemble, dans une relation partagée. Sa diffusion est entièrement libre et gratuite. Il peut ainsi être utilisé dans les écoles, les entreprises, les salles d’attente, les hôpitaux, à la télévision, sur le web ou tout autre support… à des fins pédagogiques.

Le film est téléchargeable à partir du site de l’AVH, www.avh.asso.fr, ou consultable sur You Tube.

Il comporte 6 séquences :
– Au carrefour
– Dans la rue
– Au bureau
– Au restaurant
– Avec un chien guide
– Avec une personne malvoyante