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Monthly Archives

avril 2011

"Le mariage du siècle est-il écolo ?" (29 avril 2011)

By Revue de presseNo Comments

A l’occasion du mariage du Prince William et de Kate Middleton, Terra Eco se penche sur la question de l’impact environnemental de l’évènement. Des efforts ont été fournis : menus imprimés sur du papier recyclé labellisé FSC et fleurs uniquement de saison. Pour acheminer les 1900 invités, un système de minibus a été mis en place. Les convives qui viennent de loin sont invités à replanter des arbres ou à faire un don à des associations environnementales pour compenser leur empreinte carbone.

Article paru sur le site www.terraeco.net

Société

Question à deux pounds : le mariage du siècle sera-t-il écolo ?

S’il y a bien un événement qu’on célèbre en grande pompe, c’est le mariage du prince William. Sauf que cette pompe-là n’aspire pas de CO2, bien au contraire ! Petit aperçu de l’impact sur l’environnement du mariage le plus médiatisé de la planète.

Kate Middleton portera-t-elle une robe de mariée en coton bio ou équitable ? Pas sûr. Mais en Angleterre, on assure que les futurs mariés prennent leur empreinte carbone très au sérieux. Pour preuve, les menus ont été imprimés sur du papier recyclé et labellisé FSC et il n’y aura que des fleurs de saison. What else ? Gastronomie anglaise oblige, le menu risque d’être couleur locale. Darren McGrady, l’ancien cuisinier de Diana, William et Harry, prédit même qu’il y aura de l’agneau biologique directement issu de la ferme du prince Charles à Highgrove. Lire l’article sur Terraeco

Des pavés en plastique pour protéger l'environnement

By Environnement, Revue de presse3 Comments

Véritable fléau, les sacs plastiques ont envahi depuis quelques années les villes et les campagnes du Sahel. Ce n’est pas seulement une écharde dans l’œil du touriste : sans aller jusqu’à mentionner tous les dangers biologiques du plastique (voir l’excellent film Plastic Planet), les dangers « mécaniques » sont omniprésents :

- le bétail l’absorbe directement et trop souvent en meurt
- les sacs obstruent les canalisations de tout à l’égout (trop souvent mal en point par ailleurs)
- les fragments de sacs plastiques retiennent l’eau et favorisent l’éclosion des moustiques et le paludisme …

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Une chèvre cherche son bonheur alimentaire parmi les détritus d’une décharge à ciel ouvert.
Ségou, janvier 2010

Pour lutter contre ce phénomène et donner de l’emploi aux nombreuses personnes qui souffrent du chômage, un système a été mis en place dans plusieurs villes au Mali et au Niger. Il s’agit :

- de ramasser les sacs plastiques
- de les réutiliser en les fondant et en les mélangeant avec du sable, pour fabriquer des pavés

Bénéfices :
- nettoyage de l’environnement et amélioration de la santé des animaux et des hommes ;
- assainissement des rues des villes qui, pavées à un coût économique, seraient également plus agréables ;
- emploi et revenus pour les ramasseurs et ramasseuses et les ouvriers de l’usine de transformation.
- réduction de la poussière causée par les rues en terre, qui occasionne maladies, et beaucoup de travail de ménage quotidien pour les femmes

Cette photo et les suivantes sont tirées du reportage « Faut pas rêver, MALI » diffusé sur France 3 en août 2010.

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Berges truffées de déchets plastiques
Mopti, janvier 2010

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Ramasseuses au travail
Région de Mopti, janvier 2010

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Usine de Mopti / Sévaré
arrivées des ballots de sacs plastiques

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« Cuisine du diable »
Fonte des sacs plastiques et mélange avec du sable

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Moulage des pavés plastique/sable
le mélange est d’abord versé dans des moules (formes variées) puis passé à la presse. Ici en sortie de presse.

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Rues du quartier Komoguel à Mopti
après pavage… c’est mieux, non ?

Ce projet a été mis en place au Niger par Reseda
A Mopti avec le soutien de la fondation Aga Khan
Un nouveau projet est à l’étude pour la ville de Ségou, avec mali-pense.net

Vous pouvez les aider pour mettre en place ce projet :
L’équipe est à la recherche de compétences
- économiques : pour finaliser le dossier d’investissement, affiner les coûts d’exploitation, évaluer la viabilité de l’entreprise ;
- techniques : ingénieur spécialisé en plastiques, pour optimiser le procédé, améliorer la sécurité des ouvriers …

et bien entendu aussi à la recherche de contributions de tous ordres, financières et coups de main divers !

contact sacsplastiques@mali-pense.net

VIDÉOS

2005 au NIGER : c’est ici que tout à commencé

Projet RESEDA au Niger – Sacs plastiques / pavés

Projet RESEDA au Niger – reportage d’une TV US

DUPLICATION DE L’EXPÉRIENCE AU MALI

FRANCE24 avr 2008 – les Pavés de Mopti / Sévaré

France 3 – 2010 – Pavés de Mopti / Sévaré (Mali)

"Contre les papillons, des vignerons bordelais sèment la confusion sexuelle" (28 avril 2011)

By Revue de presseNo Comments

Contre la tordeuse de la grappe, une chenille qui ravage les vignes, onze châteaux de l’appellation Pomerol dans le bordelais font le choix d’une solution écolo. Fini l’épandage massif de pesticides! Des capsules sont installées dans les rangées de vignes pour diffuser des phéromones femelles. Les papillons mâles accourent mais s’épuisent et meurent en cherchant en vain à s’accoupler.

Article paru dans Libération du 28 avril 2011, p16

TERRE 28/04/2011 À 00H00

Contre les papillons, des vignerons bordelais sèment la «confusion sexuelle»

Par STÉPHANIE LACAZE Bordeaux

Terminé l’épandage massif de pesticides, en combinaison intégrale, deux fois par an. Onze châteaux de l’appellation Pomerol dans le Bordelais viennent de s’associer pour mettre en place une méthode beaucoup plus écologique de lutte contre les papillons nuisibles. Elle est joliment… Lire l’article en ligne (accès payant)

Entreprendre dans les quartiers : Comment booster un développement en berne ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Certains contextes forcent à redoubler d’effort, de pugnacité et d’inventivité. C’est le cas des banlieues, enclaves sensibles bien souvent privées de dynamisme économique. Ce 39 ème « Alter Mardis : Parlons Solutions » vous transporte dans ces quartiers pourtant pleins d’avenir où le développement entrepreneurial ne demande qu’à s’accélérer et à perdurer. Animé par Abderzak Sifer, directeur d’investissements chez BAC partenaire, ce débat mettra en lumière tant les barrières que les aides, les opportunités et les initiatives novatrices nécessaires au développement économique, dans des zones injustement stigmatisées.

Le mécanisme de l’entrepreunariat ignore les frontières géographiques et culturelles pour ne viser que la valeur économique, couplée dans le meilleur des cas à des visées sociales et environnementales. Cette force se reflète dans les quartiers les plus difficiles où certaines volontés s’affirment et font bouger les lignes. Si le taux de créations d’entreprises et d’ailleurs deux fois supérieur à la moyenne nationale, il n’en demeure pas moins que leur taux de survie à 5 ans reste 30 fois inférieur. Tous les handicaps s’y cumulent : absence de réseau, manque de formation et de financement, mauvaise « publicité »… Pourtant, dans ces quartiers, une politique très incitative a été mise en place pour attirer et développer l’activité. Pendant les 5 premières années à compter de leur installation, les entreprises sont exonérées des charges sociales, des impôts sur les sociétés, de la taxe professionnelle et de la taxe foncière. La condition ? Un tiers des embauches doivent concerner les habitants du quartier. Les « zones franches urbaines » constituent un nouveau chapitre des Politiques de la Ville. Après une quinzaine d’années de travail centré sur la réinsertion des jeunes, la création d’équipements publics et la réflexion sociologique, l’accent a été mis vers la fin des années 90 sur la valorisation de l’entreprise comme réponse aux problèmes sociaux, et comme voie d’accès à une intégration durable.

Malgré un immobilisme latent, des solutions durables existent pour attirer une économie compétitive et pérenniser le dynamisme des quartiers. A la manière de Laurence Mehaignerie qui s’attaque au problème du financement. Son fonds de capital investissement Citizen Capital, alimente des entreprises de petite taille qui connaissent des barrières sociales dans l’accès aux fonds propres, à cause de leurs situations géographiques ou du parcours du dirigeant. Elle témoignera des difficultés d’investir dans les quartiers, donnera peut-être les clés pour y parvenir dans les prochaines années et apportera aussi son expertise sur les questions de diversité. Majid El Jarroudi s’attèle à la stigmatisation et au manque de réseau et de visibilité grâce à l’Adive. L’égalité des chances dans l’accès aux marchés pour les entrepreneurs issus des quartiers devient réalité grâce à leur mise en relation avec des grandes entreprises. Abdellah Aboulharjan, directeur de « La Nouvelle PME », démontrera qu’il est possible de renforcer les capacités des jeunes entrepreneurs des quartiers sensibles grâce à un réseau associatif fort d’outils et de services. Enfin Jamila Jaaidane, chargée de mission développement économique des territoires en difficulté de la Région Ile-de-France présentera les outils et les projets de la région pour les entrepreneurs des quartiers, de l’accessibilité immobilière jusqu’à l’aide financière.

Rendez-vous mardi 3 Mai de 19h00 à 20h30
au Comptoir Général
80, quai de Jemmapes 75010 Paris
M° République/Jacques Bonsergent

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

"Entrepreneuriat social", par Amandine Barthélémy et Romain Slitine

By Revue de presseNo Comments

Issu du regard croisé de deux experts, cet ouvrage, la première synthèse publiée sur un secteur en pleine croissance, est un appel à l’action pour transformer de manière concrète notre société.
Cliquez ici pour feuilleter un extrait de l’ouvrage

L’entrepreneuriat social, qui rassemble les initiatives privées au service de l’intérêt collectif, est un concept originaire des Etats-Unis qui a émergé en France il y a une quinzaine d’années. S’il suscite un réel engouement public et médiatique, il n’existe aucun ouvrage de synthèse sur ce sujet.
Cet ouvrage doit permettre au lecteur de comprendre les enjeux stratégiques et opérationnels de l’entrepreneuriat social à partir d’une analyse des acteurs en présence, de leurs logiques d’action et des défis auxquels ils sont confrontés mais aussi de disposer des informations, outils et conseils pour s’investir professionnellement dans les différents champs économiques concernés.

Pour acheter ce livre, cliquez ici

"Laver sa voiture sans eau" (27 avril 2011)

By Revue de presseNo Comments

En période de sécheresse, doit-on forcément s’abstenir de laver sa voiture ? Pas du tout : des alternatives existent pour associer carrosserie nette et protection de l’environnement. Elles permettent d’économiser des centaines de litres d’eau, et excluent les produits nettoyants nocifs. 20 minutes.fr passe en revue les différents systèmes.

Planète

Lavez votre voiture sans eau!

Créé le 27.04.11 à 10h44 — Mis à jour le 27.04.11 à 10h44

ECOGESTE – Après quatre mois de faible pluviométrie, et un mois de mars particulièrement sec, la sécheresse et les restrictions d’eau nous guettent… Or, selon le ministère de l’Ecologie, le lavage des voitures représente 6% de la consommation moyenne d’eau potable en France. Des alternatives existent, dont le lavage auto sans eau…

Selon une étude du ministère de l’Environnement, près de 35 millions de mètres cube d’eau sont employés chaque année au lavage de voiture, dont plus de la moitié au domicile des automobilistes. Le lavage individuel d’un véhicule est catastrophique. D’abord, il consomme davantage d’eau: 300 litres, contre 60 en station spécialisée. Un lavage par jet d’eau haute pression limite la consommation d’eau. Lire la suite de l’article sur 20minutes.fr

Inscrivez-vous au Prix des Femmes Formidables 2011

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Ce prix organisé par Femme Actuelle et France Bénévolat récompense les femmes qui jouent un rôle essentiel dans une association et qui ont réalisé une action exemplaire dans les domaines de l’enfance, de la solidarité ou de l’environnement. Fondatrices, dirigeantes ou responsables d’une activité au sein d’une association, elles ont su faire preuve d’audace, de générosité et de ténacité pour mener à bien leur projet.

L’association doit répondre aux critères suivants :
• Avoir au minimum 2 ans d’existence
• Mener des actions en France
• Faire appel à des bénévoles
• Présenter des fi nances équilibrées

Les principaux critères de sélection reposent sur la capacité de l’association à :
• Agir dans les domaines de l’enfance, de la solidarité ou de l’environnement
• Démontrer l’impact des actions menées
• Mener des actions innovantes
• Présenter un potentiel de développement

Au total 60 000 € seront versés aux 10 associations fi nalistes de la façon suivante :
• 1er prix du jury : 10 000 €
• Coup de coeur des Femmes : 10 000 €
• Coup de coeur Nivea : 10 000 €
• 2e prix du jury : 8 000 €
• 3e prix du jury : 7 000 €
• 6e au 10e prix : 3 000 €

Avec l’aide de France Bénévolat, un pré-jury composé de spécialistes du monde associatif et de membres de la rédaction se chargera de la sélection des dossiers.

Pour déposer votre candidature, cliquez ici

Etudes, emploi, société : pourquoi la mesure de la diversité reste-t-elle taboue ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Elle a le parfum de la controverse et des réjouissances à demi-mots… La diversité fait constamment mouche et intrigue toujours plus à mesure qu’elle reste insaisissable. Pourtant ce 38ème « Alter-Mardis : Parlons Solutions » a relevé le défi de la confronter à la mesure. Faut-il chiffrer la diversité pour prévenir et guérir les discriminations ? Obtient-on des résultats réalistes et efficaces ? Conduite par Catherine TRIPON, porte-parole de la Fédération « L’Autre Cercle » et membre du comité consultatif de la HALDE, la table-ronde a posé les pour et les contre de la mesure de la diversité, en présence d’Hubert BONAL, responsable « Egalité des chances » à HEC ; d’Aline CREPIN, Membre de la commission de normalisation Afnor sur la mesure de la diversité ; de Cyril DELHAY, auteur de « Promotion ZEP : des quartiers à Science Po » ; de Samuel THOMAS, membre du bureau national d’SOS Racisme, et de Mansour ZOBERI, directeur de la promotion de la diversité et de la solidarité du groupe Casino.

La fin justifie-elle les moyens ? Oui, lorsqu’il s’agit de combattre les discriminations à l’école, au travail et dans la société en général. Le moyen qui s’impose désormais partout : la mesure. Pourtant, à l’heure de la « Charte de la Diversité » et des Labels « Egalité » et « Diversité », des « Cordées de la Réussite » ou encore des « Conventions Education Prioritaire » et autres « Internats de l’Excellence », le compte n’y est pas. Qui peut affirmer aujourd’hui sereinement qu’il n’existe pas de différence d’accès au savoir en fonction de la situation personnelle et familiale de l’étudiant ? Qui peut avancer que les recrutements et les promotions se basent uniquement sur les compétences des individus ? La tâche semble peu aisée, car il s’agit plus de mesurer des comportements, des mentalités et des dynamiques sociales.

Mesurer pour mieux combattre devient le crédo de nombreuses institutions. Les chiffres parlent mais se révèlent insuffisants. Si Cyril DELHAY se réjouit que Sciences Po soit passé de 6 à 26% d’élèves boursiers en 10 ans, il ajoute « il ne faut pas se mentir, c’est une grande frustration car à l’échelle du pays ça n’a pas bougé, la sociologie du pays s’est même encore refermée ». Utiliser le taux de boursiers CROUS comme indicateur reste intéressant pour l’enseignement supérieur, mais n’empêche pas de palier les discriminations. D’autant que « la sélection se fait très tôt en France, contrairement à l’international qui propose des formations reprises. L’élève n’a pas le temps de se révéler », pointe du doigt Hubert BONAL. Les grandes écoles n’ont pas d’autre choix que d’accompagner leurs mesures de la diversité d’une sensibilité à la discrimination, en s’armant de critères de sélection plus fins, moins universitaires et fondés sur le potentiel des candidats.

Du côté des entreprises, la Charte de la diversité fait des émules, tout comme son prolongement opérationnel : le label Diversité. Ces deux outils visent l’incitation à l’autocritique, à la promotion et au respect de la diversité dans leurs effectifs. S’ils rendent possible la mesure de l’origine, Aline CREPIN met en garde : « Le vrai problème c’est le déni et les discriminations passives lors des recrutements ». Mansour ZOBERI a mesuré les origines réelles ou supposées d’accès à l’emploi dans son entreprise : « En mettant en place un testing entre mars 2007 et mars 2008, sur la base de 700 emplois en France, le différentiel s’élevait à 29% sur les employés… ». La démarche de l’entreprise pour faire ressortir par la mesure les chiffres de la diversité reste louable. Mais ne faut-il pas tout d’abord regarder les mesures à prendre pour faire cesser les discriminations avant de mesurer à tout prix? A Samuel THOMAS de conclure « Ce qui est tabou, ça n’est pas de mesurer, mais ce qu’on en fait. L’avenir n’est pas de mesurer mais de corriger le tir ».

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"Un pass contraception proposé dans les lycées d'Ile-de-France" (26 avril 2011)

By Revue de presseNo Comments

Plus de 13 000 mineurs subissent chaque année une interruption volontaire de grossesse. Ces chiffres ne faiblissent pas. Comment informer les adolescents ? Comment favoriser leur accession à la contraception ? Dans un dossier complet, le Parisien revient sur les initiatives déjà existantes et présente le « Pass Santé Contraception » dévoilé aujourd’hui en Ile-de-France.

Cet article a été publié dans le Parisien du 26 avril 2011, en page 2 et 3.

Actualité > Société

Un pass contraception pour les lycéens d’Ile-de-France

Permettre aux élèves de seconde, mais aussi aux autres, d’accéder plus facilement à la conception, c’est le but du pass santé contraception dévoilé aujourd’hui en Ile-de-France. Voici en exclusivité le dispositif.

HÉLÈNE BRY AVEC VINCENT MONGAILLARD | Publié le 26.04.2011, 07h00

Le lycée… C’est là qu’ils remplissent leur jeune cervelle de formules mathématiques et de littérature. C’est là, bien souvent, qu’ils rencontrent leur premier amour. A partir d’aujourd’hui, c’est au « bahut » aussi que les élèves franciliens, en priorité de seconde, mais également les autres, se verront offrir la possibilité d’obtenir la pilule, l’implant, le stérilet, le patch ou tout autre dispositif de contraception.