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Monthly Archives

mai 2011

« Le Klub Terre réinvente le monde… » (31 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

Du lundi au vendredi,  sur France Info, Lucie Montchovi  dans sa chronique Initiatives présente une infosolution.
Aujourd’hui, elle annonce la création par le géographe et aventurier français Eric Julien du Klub Terre. Soutenu par Stéphane Hessel et Edgar Morin, ce club refuse que les hommes et femmes politiques soient les seuls à décider de notre avenir. « Changez le Monde ! » exhorte Eric Julien, pour « retrouver la coopération, le faire-ensemble dans notre société ». Chaque adhérent verse une somme. Les fonds ainsi recueillis seront affectés à des projets choisis lors d’un grand forum participatif.

Chronique diffusée sur France Info

Le « Klub terre » réinvente le monde…

LUCIE MONTCHOVI – 06:47

C’est un club qui a pour ambition d’inventer un autre monde

Vaste ambition pour le Klub terre « changez le monde ».

Une initiative lancée par l’aventurier et géographe français Eric Julien. De retour en France, après de nombreux périples à travers le monde, cet aventurier, fou d’écologie est parti du constat que les politiques ne devaient pas être les seuls à décider des orientations des pays.

Et oui, le citoyen a aussi son mot à dire. Leur voix compte lorsqu’il s’agit d’emploi, d’environnement, de santé ou d’éducation.

Alors question comment va s’organiser ce Klub ? Et bien sur le même modèle que les bonnes vieilles mutuelles selon Eric Julien. Ecouter la chronique sur le site de France Info

Et si on faisait de la philosophie dès la maternelle ?

By Les opérations médiasOne Comment

Initier les tout-petits à la philosophie est une pratique éducative élaborée à la fin des années 60 par Matthew Lipman. Ce philosophe américain et chercheur en éducation postule que la philosophie devrait être enseignée « avant que les structures psychologiques et linguistiques du raisonnement soient déjà trop ancrées et donc trop immuables ». En d’autres termes, les enfants, par leurs questionnements spontanés et incessants seraient plus disponibles aux questions philosophiques.

L’idée

Philosopher ne peut se résumer à disserter sur des textes savants. L’enseignement de la philosophie aux enfants ne fait d’ailleurs pas mention des grands auteurs. Il s’agit d’initier l’enfant à penser par et pour lui-même.

Dés la moyenne section de maternelle, l’enseignant peut inviter les enfants à réfléchir à une question pratique : « C’est quoi grandir ? Pourquoi on aime ? A quoi servent les parents… ? » Cette réflexion doit leur permettre d’apprendre à argumenter, conceptualiser et émettre un jugement qui leur est propre.

Michel Tozzi, ancien prof de philo et actuel enseignant des sciences de l’éducation, à Montpellier III, souligne l’importance de la philosophie dans la construction de la pensée rationnelle et la capacité d’analyse :

« La discussion philosophique contribue à la maîtrise du langage et éduque à la citoyenneté – s’écouter, se respecter – elle est donc amenée à se développer ! »

En apprenant à cultiver un esprit critique, une réflexion et un jugement autonomes, l’enseignement de la philosophie initie les enfants à l’exercice de leur libre-arbitre.

Lire la suite de l’article sur le site de Rue89

En savoir plus sur les Passages à l’acte

"Acheter groupé pour acheter plus écolo et moins cher" (30 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

On connaissait déjà les magasins bio, les AMAP, les marchés de producteurs, les ventes directes à la ferme, les paniers de légumes d’insertion… Il y a mille façons d’acheter autrement. Certains vont même jusqu’à organiser leurs propre circuit de distribution en se fournissant en gros chez des producteurs choisis collectivement. Avec un peu d’organisation, il est possible de faire de belles économies par rapport au supermarché, avec des produits de meilleure qualité.

TÉMOIGNAGE

Acheter groupé pour acheter plus écolo et moins cher, vraiment ?

Par Pictulo

« Trouver des plans pour acheter de la bonne bouffe moins cher. » Quand j’entends un copain me parler du collectif qu’il a créé avec trois amis, à première vue, je rigole. Présentée comme ça, l’affaire ressemble à un trafic illicite.
J’ai rejoint le groupe il y a deux ans. Au début, on était une petite dizaine : des copains, puis des copains de copains, d’un peu tous les horizons : artisans, artistes, enseignants, chômeurs.

On se rencontre le soir chez les uns et les autres. On aurait pu adhérer à une Amap, mais on veut garder une liberté dans le choix des produits : les paniers plus ou moins imposés, c’est pas notre truc. Ce qu’on voulait, c’est reprendre la chaîne depuis le départ en s’organisant nous-mêmes.

Tout de suite, les plans les plus efficaces concernent légumes, œufs, pain, fromage et vin. Question de territoire : le nôtre propose des maraîchers, des petits producteurs. Donc, très vite, c’est la valse des cagettes, du pain bio et du pinard, la monnaie passe d’une main à l’autre, chacun tient sa petite liste et la coche. Lire la suite de l’article sur rue89.com

« Télé, ordi, console : et si on débranchait ? » (27 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

Une semaine sans écran pour les enfants, c’est le défi lancé par l’école Condorcet de Liévin. Il ne s’agit pas de dire qu’il faut en finir à jamais avec ces activités mais de prendre conscience que d’autres bons moment peuvent exister loin des télés, consoles et ordinateurs. Les petits pendant une semaine redécouvrent le plaisir de jouer, de lire, de sortir. Et ils aiment ça !

Article paru dans la Voix du Nord

ACTUALITÉ RÉGION

Télé, ordi, console : et si  on débranchait ?

vendredi 27.05.2011, 05:21 – PAR CLAIRE LEFEBVRE

| SEMAINE SANS ÉCRAN |

À Liévin, l’école Condorcet tente la Semaine sans écran pour la première fois : pas si facile, surtout quand on est fans de la série « Les Experts » ! Sauf qu’au lieu d’allumer télé, ordinateur ou console, les élèves ont eux-mêmes suggéré plein d’autres activités. Cure de sevrage avec les CM1.

« D’habitude, je ne manque jamais Les Experts à la télé. Mais hier soir, j’ai lu et joué avec mon frère », s’enthousiasme Caitline, neuf ans. Ce qui ne va pas de soi pour des digital natives (1) vivant dans des maisons où on dénombre parfois plus de dix écrans – sans compter les smartphones. Comme chez Mike, 10 ans : « Il y a la télé au salon, dans la cuisine. Dans les chambres, on a la télé et la console. » Dans cette classe de vingt-trois élèves, seuls cinq n’ont pas de télé dans leur chambre. Les autres avouent la regarder seuls « très souvent ».

« Il n’est pas rare que nos élèves regardent dès le matin les dessins animés et qu’ils nous racontent le troisième épisode des Experts ! », assure Thérèse Chiarello, dynamique directrice de cette école du bassin minier où tous les enfants mènent l’expérience : depuis le début de la semaine, on débranche tous les écrans de la maison. Lire l’article sur le site de la Voix du Nord

Urgence environnementale, urgence sociale : faut-il choisir ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Un débat inédit et sans concession entre deux personnalités de premier plan : Jean-Marc Jancovici (ingénieur de l’Ecole polytechnique, enseignant, consultant et spécialiste dans le domaine de l’énergie et du climat), et Jean-Marc Borello (délégué général du Groupe SOS et Président du Mouvement des Entrepreneurs Sociaux).

Le ralentissement d’activité consécutif à la crise de 2009 aura au moins eu une conséquence dont personne ne se plaindra : les émissions de gaz à effet de serre ont notablement diminué, permettant sans doute à l’Europe d’atteindre les objectifs fixés par le protocole de Kyoto. Voilà un des paradoxes d’une crise dont on ne compte plus les répercussions sociales et qui nous renvoie à la difficulté à arbitrer entre deux sujets à l’incompatibilité manifeste. Urgence sociale, urgence environnementale, faut-il choisir ?

La connaissance scientifique est suffisamment avancée et claire sur le sujet pour ne plus nous permettre de douter de la gravité de la crise écologique actuelle. Si les scientifiques s’emploient depuis bien longtemps à alerter les décideurs et l’opinion (conférence de Stockholm, Club de Rome, GIEC…), Copenhague a constitué un sérieux coup d’arrêt pour tous ceux qui l’envisageaient comme le tournant à ne pas rater pour l’humanité. L’augmentation irréversible du prix du pétrole siffle la fin de l’ère de l’énergie bon marché sans que nous ayons pour autant conscience de la dépendance énergétique de nos sociétés. Les écosystèmes, notamment océaniques, sont gravement menacés par les nuisances inhérentes à la suractivité humaine, et la question du changement climatique a fini d’inquiéter les seuls bobos. La crainte des climatologues concerne le risque actuel d’atteinte d’un seuil où la situation serait irréversible. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous rencontrons les limites de la biosphère. Le caractère d’urgence, plus facilement associé aux thématiques sociales, s’étend à la sphère écologique.

Plus visible, la crise sociale n’est pas moins grave. Si les 30 glorieuses ont consacré l’avènement d’une économie de la redistribution, depuis les années 80, on assiste à une rupture au détriment de la majorité de la population. Les inégalités sont incroyablement plus prégnantes et le renouvellement social s’épuise. Les pays en développement peinent à sortir de leur condition, et persistent dans le work in progress. Quand aux pays dits développés, ils assistent, stupéfaits, au retour de la grande pauvreté.

Ces crises écologiques et sociales ont-elles des origines communes ? Capitalisme décomplexé, ultra-libéralisme, impuissance des Etats, limite des organisations internationales… Les dérives de surconsommation, de gaspillage, présentés comme modèle à l’ensemble de la société , alimentent la crise écologique, en même temps qu’elles soulignent les inégalités. Mais baisser la consommation matérielle implique un changement de modèle culturel, un changement de notre approche du progrès également…

Taxe carbone, taxe Tobin, salles d’injections : autant de mesures d’une évidente nécessité qui ne sont pourtant pas mises en œuvre. Pourquoi le populisme, l’obscurantisme et l’électoralisme, prennent-ils parfois le pas sur des décisions d’avenir et d’intérêt général, comment y remédier ? Les citoyens/consommateurs sont-ils les victimes ou les coupables ? Les entreprises, alliées ou adversaires de la préservation de l’environnement et du progrès social ? Le changement passe-t-il par l’incitation et la sensibilisation, ou par la contrainte ? A quand la fin d’indicateurs obsolètes (PIB) ? Fiscalité environnementale ou pouvoir d’achat ? Crise environnementale, crise sociale ou plutôt crise de sens ?

Autant de questions qu’aborderont sans tabou nos deux invités : Jean-Marc Jancovici et Jean-Marc Borello. Deux histoires, deux personnalités, deux modes d’action et deux visions du présent et du futur pour une confrontation sans concession où nos deux hommes tenteront de faire émerger des solutions nouvelles.

mardi 31 Mai de 19h00 à 21h
à Sciences Po Paris, Amphithéâtre Boutmy
27 rue Saint Guillaume 75007 Paris
Métro Rue du Bac / Sèvres-Babylone.

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

Justice, solutions pour une indépendance restaurée

By Non classéNo Comments

Au jeu des pouvoirs et des forces dominantes, la petite dernière, la Justice, s’essouffle. Le 44ème « Alter-Mardis : Parlons Solutions » a décidé de redonner de l’ambition au 3ème pouvoir en France, en présentant le rapport de Terra Nova « La justice, un pouvoir de la démocratie ». Ses signataires, Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel, et Daniel Ludet, magistrat et conseiller à la Cour de cassation, ont plaidé pour une rupture fondamentale : la reconstruction totale d’un système judiciaire affranchi de l’exécutif. Mais plus encore, la série de réformes constitutionnelles proposée s’inscrit dans une réflexion globale sur la démocratie. Captivant et innovant, le débat a ouvert des pistes pour garantir l’indépendance de notre système judiciaire, repositionner le juge au cœur du jeu démocratique, et associer les citoyens à l’exercice de la justice. Garante de notre liberté, l’avenir de l’autorité judicaire nous vise tous.

La Constitution de la Vème République ne fait pas la part belle à la justice. Elle la définit comme une autorité, non comme un pouvoir, et sa légitimité n’étant pas conférée par le suffrage universel, elle se trouve reléguée au bas de l’échelle démocratique… D’autre part, l’institution souffre des secousses des réformes gouvernementales, d’un manque de lisibilité et d’une faiblesse budgétaire, alors que le XXIème siècle, inondé d’affaires judiciaires, se présente comme le siècle du juge. Repenser et imaginer une justice à l’image de notre société, à l’opposé de celle prônée par Michel Debré à l’image de l’Etat, s’impose pour Dominique Rousseau et Daniel Ludet :« nous considérons la justice comme le signe de civilisation de la société, la garantie des citoyens, et une institution d’équilibre ». La justice devient un instrument laïc de civilisation indispensable face au déclin de l’Etat, dont l’indépendance protège la liberté de chaque citoyen et qui par sa présence stabilise les pouvoirs et les émotions. Dans une société de vitesse et de précipitation, l’institution serait un lieu de réflexion et de respiration, à l’heure où les débordements d’émotions permettent à chaque crime d’accoucher d’une loi.

Pas de rafistolage incertain, ni d’une énième réforme judiciaire ponctuelle. Les magistrats, avocats et universitaires du groupe de travail « Justice et pouvoirs » de Terra Nova ont planché pendant 2 ans pour asseoir la justice au cœur de notre démocratie. Le rapport final préconise de faire de la justice un vrai pouvoir indépendant. Comment ? Grâce à la création d’un Conseil supérieur de la justice indépendant (CSJ) et d’un Procureur général de la République dirigeant l’action publique. Il suggère également d’asseoir la légitimité du pouvoir judiciaire sur des nominations parlementaires transpartisanes, de resserrer les liens entre la justice et les citoyens à travers l’échevinage et d’assurer la pleine responsabilité des magistrats (sanction, prévention, transparence).

Gardien de l’indépendance de la justice, le CSJ, autorité constitutionnelle indépendante composée de magistrats élus et d’éminences aux qualités reconnues par la société, se verrait transférer l’intégralité des compétences de nomination et de gestion de la carrière des magistrats, du siège comme du parquet, et serait également compétent en matière de gestion du budget. D’autre part, afin d’échapper à une justice à plusieurs vitesses et aux risques d’influences, le ministre de la Justice ne devrait plus être en mesure de donner des instructions individuelles aux magistrats du parquet, ni rester le chef de l’action publique. Ces fonctions seraient transférées à un Procureur général, magistrat choisi pour son indépendance, sa compétence et son intégrité, et dont le statut serait reconnu constitutionnellement. Un principe d’impartialité des investigations serait introduit : les enquêtes et les instructions seraient menées à charge et à décharge. Ainsi, le ministère se recentrerait sur la définition de la politique pénale, à travers les circulaires générales qui continueraient d’être élaborées par le Garde des Sceaux, et demeurerait pleinement compétent sur ses autres fonctions actuelles. Enfin, pour être légitime, la Justice doit créer un pacte de confiance avec les citoyens en réintroduisant la collégialité dans l’action de juger. L’introduction de l’échevinage aboutirait à un modèle de justice mixte où des juges citoyens, non professionnel, rendraient la justice aux côtés des juges professionnels. Cette proposition phare rapprocherait la sphère de la justice du monde des justiciables, favorisant ainsi l’accès à la justice et le contrôle de son bon fonctionnement.

En ces temps de révoltes et de crises de confiance, ces propositions innovantes ont le mérite de positionner l’intérêt des citoyens au cœur de la réflexion démocratique qu’elles soulèvent. La légitimité électorale ne suffisant plus, qu’est ce qui peut restaurer la confiance des citoyens en leurs institutions? Trois conditions doivent être réunies, assure Dominique Rousseau: « que l’institution soit impartiale, proche d’eux et source de réflexion ».

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la Fête des Voisins célèbre sa 12e édition

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Placé sous le double parrainage de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre des Solidarités et de la Cohésion Sociale et de Monsieur Benoist Apparu, Secrétaire d’Etat chargé du Logement et de l’Urbanisme, ce rendez-vous citoyen créé en 2000 à Paris a fait le tour de la planète. Il est dorénavant la plus importante manifestation populaire en France et en Europe avec plus de 11 millions de participants européens en 2010, dont 6,5 millions en France.

La Fête des Voisins, un remède à l’individualisme et au repli sur soi

Dès 1990, Atanase Perifan, déjà sensibilisé par les questions de solidarité de proximité, créait, dans le 17e arrondissement de la capitale, l’association « Paris d’Amis » avec le slogan « Pas de quartiers pour l’indifférence ». Renforcer les liens de proximité, développer le sentiment d’appartenance à un même quartier, se mobiliser contre l’exclusion et l’isolement, tels étaient les défis que souhaitait relever celui qui allait lancer la 1e Fête des Voisins.

Ainsi, persuadé que le lien social passe aussi par les solidarités de voisinage, il a lancé il y a 10 ans ce qui est devenu l’un des rendezvous citoyen incontournable. La Fête des Voisins se veut un moment de partage, de convivialité et d’échange, en réponse à la morosité ambiante et à l’individualisme grandissant.

Pour en savoir plus sur la fête des voisins, cliquez ici

Avec Voisins Solidaires, la dynamique se décline au quotidien Développé en partenariat avec le Ministère des Solidarités et de la Cohésion Sociale, les mairies, les bailleurs sociaux et les associations, le programme « Voisins Solidaires » offre à chacun l’opportunité de s’inscrire dans un mouvement positif, créateur de valeur sociale. Il a pour objectif de développer les solidarités de proximité en complément des solidarités familiales et institutionnelles. « Voisins Solidaires, c’est la Fête des Voisins toute l’année : stimuler les petits services, l’entraide tout simplement », souligne Atanase Perifan.
Ainsi, de nombreuses initiatives ont vu le jour afin de donner à tous l’occasion d’agir pour construire une
ville plus humaine et plus solidaire. « Il est important qu’on inscrive la solidarité dans une démarche de
réciprocité. Chacun a de la valeur, chacun peut être utile à l’autre, il faut que chacun puisse exprimer ce
qu’il a envie de donner à l’autre », renchérit le créateur de la Fête des Voisins.
Objectif : mobiliser 1 million de Français sur les 5 prochaines années.

Pour devenir Voisins Solidaires : www.voisinssolidaires.fr

« Anna Heringer, une architecte qui croit en la terre crue » (26 mai 2011)

By Revue de presseOne Comment

En voulant depuis le début de sa carrière allier architecture et développement, Anna Heringer est déterminée à refuser le tout béton. Au Bangladesh, elle remet à l’honneur les méthodes de construction traditionnelles. Son matériau de prédilection est la terre crue. Elle démontre aux habitants qu’il permet d’ériger des bâtiments modernes, agréables et durables. Les chantiers sont écologiques. Tout se fait grâce aux hommes. « on a réalisé les travaux sans électricité (…) presque tout le budget a servi à payer les gens et non à enrichir des industriels. »

Article paru dans le Monde

Anna Heringer, une architecte qui croit en la terre crue

LE MONDE | 25 mai 2011 | Grégoire Allix | 560 mots
Elle a 34 ans à peine, mais ses premiers bâtiments sont applaudis dans le monde entier. L’architecte allemande Anna Heringer n’a pas dessiné un opéra ou un musée défiant les lois de la gravité. Elle est l’auteure, dans un village reculé du nord du Bangladesh, d’une modeste et formidable « école faite main »… Lire la suite de l’article sur lemonde.fr (accès abonnés)

Rencontre : une économie non-violente est-elle possible ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Notre modèle occidental de croissance, on le sait, conduit à des impasses tragiques : krachs financiers, crises économiques à répétition, effondrement de l’emploi, augmentation des inégalités, exclusion des plus fragiles, déficit alimentaire.

Une économie non-violente peut être définie comme une économie dans laquelle les acteurs gèrent leurs relations et résolvent leurs conflits dans le respect de l’autre, dans une dynamique d’équilibre optimal en vue de l’intérêt général : intérêt de tous les acteurs de l’entreprise, bien commun de la société, avenir de l’humanité, respect et restauration de la biosphère.

Cette rencontre organisée par Gandhi International en partenariat avec Ekta Europe et Non-violence XXI vise toutes les personnes et tous les groupes francophones désireux de réfléchir à un autre modèle économique.
Avec Geneviève Azam, Marc Dufumier, David Eloy, Jacky Blanc, Wojtek Kalinowski, Hervé Kempf…

La rencontre aura lieu du vendredi 10 juin 2011 à 19 h 00 au lundi 13 juin 2011 à 17 h 30, dans la maison d’accueil et de formation de l’Arche de Lanza del Vasto (www.arche-de-st-antoine.com), dans le village de St Antoine-l’Abbaye (Isère), à 12 km de la gare de St Marcellin, entre Grenoble et Valence.

Pour en savoir plus cliquez ici

« La Tunisie se tourne vers la microfinance » (25 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

La Tunisie compte près de 700 000 demandeurs d’emploi. Le micro crédit permet de développer une activité économique viable grâce à la création d’entreprises. Une solution particulièrement intéressante pour les jeunes tunisiens, les plus touchés par le chômage. Reste à définir le futur cadre légal de l’activité des instituts de micro finance.

Article par sur Youphil.com

La Tunisie se tourne vers la microfinance

Rédaction | Julie Schneider | 25/05/2011

La microfinance pourrait favoriser le développement de certaines régions en Tunisie. Mais cet instrument est à manier à bon escient.

Au lendemain de la révolution, les défis à relever en Tunisie sont énormes. Le choc politique, incarné par le départ du président Ben Ali le 14 janvier, a laissé place à un choc économique violent: les touristes ont déserté, l’activité a été stoppée pendant les grèves, les investisseurs ont fui… Et le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter. Selon le ministre tunisien de la Formation professionnelle et de l’Emploi, Saïd Aydi, d’ici juillet 2011, près de 700.000 Tunisiens pourraient être demandeurs d’emploi, contre 562.000 estimés en avril.

Rapidement, le microcrédit est apparu comme la solution pour relancer la machine. A l’approche des élections de l’Assemblée constituante, prévues pour le 24 juillet, la microfinance est un chantier prioritaire du gouvernement de transition: la loi actuelle bride le secteur et empêche les institutions de microfinance de grandir. Mais les acteurs du secteur insistent sur la mise en place de garde-fous pour éviter des dérives. Lire la suite de l’article sur Youphil.com