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Monthly Archives

avril 2012

Rendez-vous le dimanche 13 mai pour la deuxième édition du carnaval éthique et solidaire de Paris

By L'actu de Reporters d'Espoirs

La Fédération Artisans du Monde, à l’initiative de l’évènement, orchestre cette seconde édition de la Fairpride, en partenariat avec une quarantaine de structures engagées dont 6 acteurs clés du Commerce Equitable : AlterEco, Ethiquable, Fair[e] un monde équitable, Guayapi, Max Havelaar France et la Plate-Forme pour le Commerce Equitable.

Cette manifestation s’inscrit dans le cadre de La Quinzaine du Commerce Equitable 2012, initiée par les membres de la Plate-forme pour le Commerce Equitable. Cette année, la thématique choisie est l’ « Engagement » ; l’engagement par nos choix de consommation, l’engagement par un partenariat durable avec les producteurs, au Nord comme au Sud, engagement de milliers de bénévoles et militants qui s’impliquent quotidiennement pour construire un monde plus juste et solidaire.

Une fête ouverte à tous, quel que soit l’âge, avec un seul mot d’ordre : partager un moment festif et s’afficher en faveur d’une société plus solidaire sans se prendre au sérieux.

Au programme du dimanche 13 mai de 11h00 à 19h00 :

. Le défilé de 14h à 17h

Rendez-vous Place Gambetta à 14H (face à la Mairie du 20ème)  pour le départ du cortège.

Composé d’une dizaine de délégations d’acteurs du Commerce Equitable et de l’Economie Sociale et Solidaire et de 200 artistes qui composent les fanfares, batucadas, percussions et capoeira, il déambulera dans les rues de Paris, pour arriver Place Baudoyer (face de la Mairie du 4ème) vers 17h.

. Le Village Solidaire

Le Village Solidaire composé d’une quarantaine de stands de vente, de sensibilisation, de dégustation et de découverte de produits bio-équitables qui proposeront diverses animations pour permettre échanges et discussions avec le public. Cours de danse africaine, maquillage et contes pour enfants, musique malienne avec le chanteur et joueur de N’Goni Abou Diarra, chorale de Gospel avec Sankofa Unit, défilé de mode éthique avec les créateurs de la marque Goïta et un concert de clôture en présence de l’artiste brésilienne Flavia Coelho.

L’événement sera décliné en région à l’initiative des boutiques Artisans du Monde

. Le 13 mai à Bordeaux, Nancy et Nice

. Le 26 mai à Saint-Brieuc

Plus d’informations sur la Fairpride.

Habiter ensemble autrement : habitat groupé, solidaire, participatif, coopératif et autopromotion – Vendredi 4 mai

By L'actu de Reporters d'Espoirs

Dans le cadre du 3ème cycle d’urbanisme, l’école spéciale d’architecture organise une table ronde autour d’un thème: habiter ensemble autrement : habitat groupé, solidaire, participatif, coopératif et auto promotion. L’évènement se déroulera le vendredi 4 mai, de 14h à 19h à l’amphi Cinéma de l’école supérieure d’architecture, 254 boulevard raspail 75014 Paris.

L’objet de cette table ronde est de s’interroger et de débattre ensemble avec des chercheurs, des architectes et des habitants sur des modes de production d’habitat alternatif . Il sera question du rôle et des compétences nécessaires à l’architecte dans ce genre de projet, ainsi que des processus de conception, des limites entre les espaces privés et collectifs, de la viabilité juridique et financière, et de la capacité de reproductibilité de ces expériences.

Pour en savoir plus et connaitre le programme de la journée, rendez vous sur le site de l’esa.

COVENTIS : le salon national dédié à l’économie sociale

By L'actu de Reporters d'Espoirs

Unique en France, cet événement est organisé à l’initiative de la Chambre Régionale de l’Économie Sociale (Cres LR) et de la Région Languedoc-Roussillon et se tiendra du 26 avril 2012 au 27 avril 2012 au Corum de Montpellier . Créé par et pour les mutuelles, coopératives et associations, Coventis est aussi ouvert aux élus, institutionnels, chefs d’entreprise et à l’ensemble des décideurs économiques. La 4ème édition donne rendez-vous aux acteurs de l’économie sociale sur le thème « Quand affaires rime avec solidaire ».

Durant deux jours, plus de 130 exposants présenteront leurs actions, services et prestations aux professionnels qui s’inscrivent dans une démarche d’achat responsable.

Lieu d’échange et de partage d’expériences, Coventis est l’occasion de nombreuses signatures de conventions d’affaires et de rencontres. Les « Expr’ESSdémo » permettront ainsi aux participants d’intervenir sur le plateau TV pour parler de leur entreprise, de leurs activités, projets… L’espace d’affaires spécialement aménagé accueillera également les rendez-vous professionnels.

Temps forts du salon Coventis, 3 rencontres thématiques :

  • Conférence-débat : « Faire rimer « affaires » avec « solidaire », un défi pour la société ! »
    jeudi 26 avril de 17h45 à 20h, en présence de M. Jean-Luc de Boissieu (Secrétaire Général du Gema), Jean-Marc de Boni (Président du Directoire de la Nef), Martial Lesay (Président de Max Havelaar France), Jean-Louis Cabrespines (Président du CN Cres et du Ceges)…
  • Atelier : « L’innovation pour tous »
    vendredi 27 avril de 10h à 12h
  • Table ronde : « Les leviers pour le développement des entreprises solidaires»
    vendredi 27 avril de 14h30 à 16h30

 

Entrée libre, infos et inscriptions sur www.coventis.org.

Le microcrédit comme outil d’insertion

By Revue de presse

Permettre aux familles en difficulté d’accéder malgré tout à un crédit correspondant à un besoin bien ciblé et l’assortir d’un accompagnement social, tel est le principe du microcrédit lancé depuis trois ans dans l’Oise. Le centre communal d’action sociale (CCAS) de Villers-Saint-Paul vient de signer une convention afin de pouvoir en bénéficier.
Jusqu’alors, Montataire avait franchi le pas en 2009, suivi par Rantigny l’année suivante, puis Éstrées-Saint- Denis, Crépy-en-Valois, Béthisy-Saint-Pierre et Nogent-sur-Oise l’an dernier. « Quatre dossiers ont été déposés à Nogent sur-Oise, c’est encourageant »,glisse Fabienne Dupré, chargée de mission à Parcours Confiance Picardie. Cette association a été choisie en 2006 par la Caisse d’épargne pour relayer ses fonds et guider les particuliers n’ayant plus accès aux financements bancaires classiques pour des raisons diverses.

Permis de conduire, accès au logement

« En six ans, Parcours Confiance a réalisé 302 microcrédits en Picardie, précise Nicolas Delnatte, président de l’association. Nous en avons recensé 73 en 2010 et 83 l’an dernier, dont un tiers dans l’Oise, pour un total de 180 000 €. La moyenne des prêts avoisine 2 200 € »
La procédure repose sur un partenariat instauré entre une association d’insertion ou un CCAS, et Parcours Confiance. Il s’agit de détecter les familles nécessitant un soutien financier pour régler leurs besoins liés pour 70% à la mobilité (permis de conduire, achat d’un véhicule), pour 20% au logement, puis à l’emploi, à l’équipement, à des frais d’obsèques,de santé ou de financement d’études.

 

Lisez la suite de l’article sur le site du Parisien.

Le 22 avril, c'est le "Jour de la Terre" !

By L'actu de Reporters d'Espoirs

Le « Jour de la Terre » a été initiée aux États-Unis le 22 avril 1970, sous l’impulsion du sénateur américain Gaylord Nelson qui fit appel aux étudiants pour sensibiliser leurs communautés à l’environnement. Son objectif : secouer le monde politique et forcer l’insertion de la problématique environnementale dans le cadre politique national. Une initiative qui a conduit à la création de l’agence de protection de l’environnement des États-Unis et à l’adoption de la loi « Clean Air, Clean Water, and Endangered Species ».

Le Jour de la Terre est aujourd’hui un événement mondial, qui rassemble près de 200 millions de personnes dans 141 pays.
S’il rencontre peu d’écho en France, il est revanche devenu une institution chez nos amis québecois.

Pour en savoir plus : www.jourdelaterre.org (Québec).

A Rochefort, le principe de modération

By Environnement

La petite ville de Charente-Maritime s’efforce de penser l’énergie en fonction de la consommation plutôt que de la production. Elle veut entraîner ses habitants et ses entreprises dans ce cercle vertueux

Rochefort (Charente-Maritime) Envoyé spécial – André Bastier est le plus calme des hommes, ce qui ne l’empêche pas d’avouer qu’il a « toujours eu la passion de l’énergie ». Mais au lieu de se vouer au vent, au pétrole ou au nucléaire, il a consacré sa vie à trouver les moyens d’utiliser l’énergie de la façon la plus efficace possible, donc de l’économiser. En mettant en pratique la règle selon laquelle « l’énergie la moins chère est celle qu’on ne produit pas ». Sa démarche ne brille pas, elle n’est pas spectaculaire, mais elle constitue sans doute un moyen prioritaire de répondre au défi énergétique du XXIe siècle : penser l’énergie en fonction de la consommation et non pas de la production.

M. Bastier est chef du service énergie de la ville de Rochefort (Charente-Maritime). Depuis plus de vingt ans, il pilote une politique de maîtrise de l’énergie unique en France, qui a fait économiser près de 12 millions d’euros à sa municipalité. « Quand je suis arrivé en 1975, il n’y avait rien : une planche sur deux tréteaux, raconte-t-il. J’ai commencé par aller à la pêche aux informations, pour connaître les consommations des différents services de la ville. Quand je les ai eues, j’ai promis au maire qu’on réaliserait 25 % de mieux dans l’année, sans investissement matériel. Et j’ai réussi. » Aucune recette magique, mais une méthode, dont le principe de base est de compter précisément les consommations, de les comparer d’une année sur l’autre en tenant compte des différences météorologiques, et de chercher les domaines où le gaspillage est le plus important.

S’en est suivi un travail patient d’inventaire et d’analyse technique, de collège en bâtiment municipal, de chaufferie en station d’épuration, de serres horticoles en école maternelle. Puis d’appliquer systématiquement des moyens de réduire la consommation : ici, modifier une simple vanne, là changer la chaudière, ailleurs installer des détecteurs de mouvement pour déclencher l’éclairage. Partout, des compteurs de consommation ont été posés.

Des équipements ont aussi été installés, associant souvent efficacité énergétique et énergies renouvelables. Par exemple, la chaufferie à bois alimente le quartier des Fourriers et les serres municipales – dont la plus grande collection au monde de bégonias, une des fiertés de Rochefort. Comme la rénovation thermique des Fourriers aprogressé, la chaudière est devenue surdimensionnée. Elle va permettre d’installer de nouvelles serres, pour des professionnels, sur un terrain voisin.

De même, des panneaux photovoltaïques sont installés sur plusieurs établissements scolaires. Au collège Libération, ils ont été posés en casquette sur les fenêtres, afin de briser la lumière trop vive qui conduisait les enseignants à baisser les rideaux en permanence et donc à allumer la lumière. La fierté de la ville reste cependant la station d’épuration des eaux par lagunage : les eaux sont nettoyées par la lumière et la dégradation bactérienne, en passant par plusieurs bassins, avant de rejoindre la Charente. Ce système, qui évite les dispositifs usuels consommateurs d’énergie, a divisé la facture énergétique du traitement des eaux par sept. Et les bassins offrent un refuge apprécié des oiseaux migrateurs.

Mais plus que des équipements, c’est la méthode qui est essentielle, selon l’ingénieur. D’abord, le comptage. Mais aussi un service énergétique permanent. « Il faut des gens pour gérer les régulations, dit M. Bastier, sinon, ce n’est pas la peine de faire des investissements. »

Et puis, point central, avoir le soutien des élus. Ça tombe bien, les maires successifs de Rochefort ont toujours soutenu cette politique énergétique. « A vrai dire, dit Bernard Grasset, le maire de cette sous-préfecture de 28 000 habitants, on fait des économies parce qu’on est obligés d’en faire. » Ancien centre de construction navale, la ville a perdu de sa vitalité après la seconde guerre mondiale, lorsqu’elle comptait près de 50 000 habitants. «Rochefort est la ville la plus pauvre du département, poursuit l’édile. Elle compte des poches de pauvreté importantes et souffre terriblement de la crise. »

Dans ce contexte, la politique de maîtrise énergétique est tout simplement un outil de bonne gestion, et parfois de politique sociale : « Les habitants les plus pauvres sont dans des logements mal isolés et consomment beaucoup d’électricité avec des mauvais radiateurs radiants. Cela se retrouve dans les factures qu’on couvre par le centre communal d’action sociale. » Il faudrait donc rénover thermiquement tous les quartiers. Il reste que, si la municipalité elle-même a de longue date une forte politique de maîtrise énergétique, cela n’est pas vraiment le cas des habitants de la ville ou de ses entreprises. « Les gens n’ont pas conscience que l’énergie prend une part importante de leur budget », selon Bernard Grasset. A quoi André Bastier ajoute : « C’est un problème de bonne gestion, ça ne fait pas rêver. »

Sans doute est-ce pour cela que ces politiques sont assez peu visibles, et le plus souvent menées par des collectivités locales. La pression légale commence pourtant à se faire sentir. « La loi Grenelle a défini les plans climat énergie et territoires, explique Jean-François Mauro, délégué de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) en Poitou-Charentes. Ils visent à décliner sur les territoires la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre. Toutes les collectivités groupant plus de 50 000 habitants doivent établir ces plans avant fin 2012. » Il s’agira d’abord d’un travail d’inventaire visant à évaluer les émissions et les secteurs qui en sont à l’origine.

Peu à peu, les collectivités locales s’imprègnent de cette nécessité. Un des outils les plus efficaces a été mis en œuvre en Basse-Normandie, avec les chèques éco-énergie. « Il fallait aider les particuliers, mais aussi aider les professionnels du bâtiment à acquérir les compétences », explique Annie Motte, chargée de projet Energie et qualité environnementale à la région. Car le tout n’est pas de vouloir économiser l’énergie, encore faut-il savoir le faire. Et les techniques de rénovation thermique doivent s’apprendre avant de se pratiquer. Dans le système bas-normand, le particulier consulte l’entreprise référencée, fait son choix de travaux, celui-ci est analysé par les conseillers énergie de la région. Si l’accord est donné, la région envoie un chèque éco-énergie au particulier, qui le donne à l’entreprise en déduction de la facture. L’entreprise envoie le chèque à la région, qui lui en verse la contrepartie. « Le succès a dépassé ce qu’on imaginait » : 6 000 chèques d’un montant moyen de 800 euros ont été distribués.

Mais il n’existe pas encore de collectivité qui ait une politique aussi systématique de maîtrise de l’énergie que la commune de Rochefort. Les outils sont le plus souvent ponctuels. Et cela semble être aussi le cas au niveau national : « La politique d’économie d’énergie peut paraître disparate, parce qu’elle implique une foultitude de petites actions aux niveaux local, national, européen, et selon les différents secteurs, observe un spécialiste du ministère de l’écologie. Une difficulté est qu’il n’y a pas de lobby pour la défendre. J’ai beaucoup de mal pour avoir des interlocuteurs pour parler d’économie d’énergie – ou alors il y a en trop : ce matin, j’avais une réunion sur les certificats d’économie d’énergie, on était 25 autour de la table. »

Pourtant, les objectifs généraux existent bien, ainsi que nombre d’outils. « En 2016, on vise à économiser 9 % de la consommation finale d’énergie par rapport à 2005, indique-t-on au cabinet du ministre de l’énergie, Eric Besson. Et en 2020, l’objectif européen est de réduire la consommation d’énergie de 20 %. Le Grenelle nous a aussi fixé plusieurs objectifs, notamment sur l’habitat. »

Nombre d’instruments existent, comme la réglementation thermique 2012. Elle va imposer aux constructions neuves de ne pas consommer plus de 50 kilowattheures par mètre carré et par an (contre une moyenne actuelle de 260). Autre outil, les certificats d’économie d’énergie : « Les économies d’énergie réalisées sont converties en certificats par les entreprises qui doivent atteindre un volume quantifié, explique Frédéric Utzmann, de CertiNergy, une société de conseil en énergie. Si elles n’en ont pas suffisamment au regard de l’objectif, elles doivent des pénalités. »

Reste qu’il manque une vision d’ensemble qui rendrait les économies d’énergie perceptibles par le public. « Il faut un vrai plan national, secteur par secteur, mesure par mesure, et avec les moyens de l’atteindre », plaide Bernard Laponche, de l’association Global Chance.

Si elle déplaît aux producteurs d’énergie, cette maîtrise des consommations est avantageuse, comme on l’a expérimenté après le choc pétrolier de 1973. La France avait alors engagé une double politique d’économie d’énergie et de développement du nucléaire. Le ministère de l’industrie en a tiré le bilan en 1987 : 100 milliards de francs (15 milliards d’euros) investis à cette date dans les économies d’énergie ont permis de réduire de 34 millions de tonnes par an les importations de pétrole; 500 milliards de francs investis dans le nucléaire ont réduit l’importation de 56 millions de tonnes. Cela signifie que les économies d’énergie ont alors été trois fois plus efficaces que l’énergie nucléaire.

Avec l’augmentation programmée des prix de l’énergie, la politique d’économie d’énergie va s’imposer. Mieux vaudrait qu’elle soit portée par le désir plutôt que par la contrainte.

Lauréat du Prix Reporters d’Espoirs 2012, catégorie Presse-Environnement.

Paru dans Le Monde, le 08/04/2011, journaliste Hervé Kempf

Jour de la Terre le 22 avril 2012

By L'actu de Reporters d'Espoirs

42ème  anniversaire du Jour de la Terre le 22 avril 2012

L’occasion de mobiliser les individus, organisations, gouvernements sur l’importance des questions environnementales. Lors de cette journée, tout un chacun, de tout âge et de tous les coins de la Terre est invité à réfléchir, à s’exprimer et à participer à une action en faveur de la planète. A travers des campagnes et des évènements seront présentées des initiatives durables. L’objectif de cette journée est de sensibiliser le plus grand nombre aux questions environnementales et atteindre 1 milliard de gestes verts en vue de les présenter lors du Sommet de Rio+20 en Juin 2012.

Pour plus d’informations : www.earthday.org

L' A.PRO.S.EC-TOGO et "Un pas pour le Togo" organisent un camp chantier international.

By Société

A.PRO.S.EC–TOGO (Association pour le Progrès Social et Economique) est une association de développement, apolitique et sans but lucratif reconnue officiellement par le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.
Sa mission est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations et d’œuvrer pour un développement durable de notre société.

Leurs missions:

  • Mettre en valeur la nature et la culture comme fondement d’un développement mondial et équitable de la société
  • Lutter contre les IST/VIH-SIDA
  • Contribuer au renforcement effectif des promoteurs de micro entreprises et des organismes d’auto promotion jeunes scolaires et non scolaires
  • Promouvoir l’art culturel et la musique
  • Promouvoir la mobilité durable
  • Favoriser les échanges entre les hommes du monde entier.
  • Valoriser la vieillesse épanouie

L’APROSEC-Togo a mis en place en septembre 2008 un partenariat avec une association étudiante française nommé « Un Pas pour le Togo », qui vise la promotion de l’éducation et de la culture au Togo. Ils organisent ensemble un camp chantier international dans plusieurs villages dans la région des plateaux.L’occasion vous sera donnée de visiter les différents sites touristiques de la région et du reste du pays.

 

Pour vous engager ou pour en savoir plus sur A.PRO.S.EC–TOGO, cliquez ici.

 

Africa Express à la rencontre des projets d'énergie durable en Afrique

By Société

Dans le cadre de l’année Internationale de l’énergie durable pour tous en 2012, la mission Africa Express partira de Paris le 23 avril 2012 et fera le tour du continent africain en train, à la rencontre de  « 20  projets d’énergie durable ».

Ces projets d’énergies durables sont issus du Livre Blanc de l’Initiative Climat Paris-Nairobi paru en avril 2011, publié sous la responsabilité du ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.

Dirigée par Jeremy Debreu, consultant en développement durable et Claire Guilbert, chef de projet « 6 milliards d’autres » de la Fondation GoodPlanet, elle traversera 26 pays, parcourra plus de 20.000 km, au cours d’un périple de 8-10 mois, où sera menée une étude sur les projets d’énergies renouvelables existants sur le continent.

Les projets seront évalués selon quatre critères précis et mesurables afin de s’assurer de leur pertinence : conformité à la définition de l’énergie durable établie par l’ONU, limitation et intégration des risques pour les populations et la biodiversité, bénéfice énergétique mesurable et inscrit dans le temps (en termes économique, social et environnemental) et réplicabilité du projet.
L’objectif  étant d’identifier les initiatives énergétiques innovantes, réplicables et durables dans les domaines de la géothermie, biomasse, hydraulique, éolien, solaire etc. pour ensuite faire connaître et diffuser ces bonnes pratiques à l’ensemble du territoire.

Lors de cette mission, un cycle de conférences se tiendra auprès des villages, des associations, des universités, instituts et ambassades français pour parler de l’Afrique de demain.

Au retour de la mission, prévu le 10 janvier 2013, un Livre Blanc sur les énergies durables en Afrique sera publié, destiné aux porteurs de projets et experts de l’énergie, ainsi qu’un documentaire de 52 min, une série de programmes courts et la tenue de conférences et de séminaires dans des universités et écoles notamment.

Africa Express veut limiter son impact environnemental avec l’utilisation des transports en commun, un mode de vie local, l’utilisation de l’énergie solaire pour les batteries et la compensation carbone pour les émissions engendrées. Par ailleurs elle exclu les projets d’énergies nucléaire ou fossiles.

CB

Vous pouvez suivre la mission sur le site Internet  http://africaexpress.org/

A la découverte de L'Eau et de l'Energie en Asie du Sud-Est

By Société

A la découverte de l’Eau et de l’Energie en Asie du Sud Est

Louis Mangold et Thomas Pinkava, étudiants ingénieurs de Grenoble INP, spécialisés dans les domaines de l’énergie, de l’eau et du développement durable, sont partis le 27 février 2012 pour cinq mois de voyage à travers l’Asie du Sud-Est. Ils parcourent la Thaïlande, le Cambodge, le Laos et le Vietnam à la rencontre d’ONG locales et des groupes industriels partenaires de leur projet qui mènent des actions sur l’accès à l’eau et à l’énergie. Au cours de leur périple ils réalisent des reportages vidéos et photos sur les projets menés, les installations visitées et les populations locales qu’ils rencontrent, leur but étant d’observer ce qui a été fait, d’en comprendre le fonctionnement et de s’intéresser aux conséquences de ces installations sur la vie des populations. A leur retour en France, le 5 août prochain, ils organiseront avec leurs partenaires un salon sur le thème : « Eau Energie Culture » où seront exposés leurs photos et reportages vidéos. Des ONG, industriels, politiques et étudiants seront invités à débattre.

CB

Vidéo présentation 

 

L’opportunité s’offre à nous de faire une pause d’un an dans nos études. C’est l’occasion unique de nous laisser guider par notre curiosité au-delà des frontières européennes. Pendant 5 mois, c’est en Asie que nous voulons poser nos bagages afin de mieux appréhender la complexité et la diversité de cette région.

Plus précisément, nous souhaitons entrevoir le problème d’accès à l’Eau et l’Energie en zone rurale. Plusieurs partenariats ont été établis avec des ONG (voir ci après), l’objectif est de tourner des reportages vidéos/photos sur leurs projets dans ces zones. Nous souhaitons nous intéresser aux conséquences sociales, économiques, environnementales sur le terrain : « une sorte d’étude d’après projet »

C’est aussi l’occasion de faire remonter aux ONG la situation des populations concernées, parfois plusieurs années après que le projet est eu lieu.

Parmi les projets visités :

Electrification de la grotte de Konglor (Laos)

Réseau d’adduction et électrification d’un dispensaire Tha Pene (Laos)

Forage au village de Boumlou (Laos)

Irrigation à Sisiphon (Cambodge)

Notre projet a aussi plu à plusieurs groupes industriels comme EDF GDF et Schneider Electrics. Avec eux, nous allons visiter une centrale génératrice d’électricité en Thaïlande, rencontrer des responsables, découvrir le barrage Nam Theun, le plus gros barrage de l’Asie du sud-est, au Laos, ou encore voir des usines et des locaux commerciaux.

Outre cela, Thomas et moi avons des objectifs plus personnels. Par l’intermédiaire de notre site web et notre page facebook (www.togetherdiscover.com), nous voulons présenter des choses spécifiques de la vie quotidienne dans ces pays, comme le marché aux araignées ou l’élevage d’éléphants.

Enfin, après notre retour en France, une exposition sera  organisée sur le thème : « Eau Energie Culture » avec l’intervention de nos partenaires.

Suivez leur voyage sur www.togetherdiscover.com