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Yearly Archives

2013

Le Libé des solutions est en kiosque ! Les 24 et 25 décembre

By L'actu de Reporters d'Espoirs, Les opérations médias, Partenaires médias2 Comments

Pour la 7e année, Libération s’associe à Reporters d’Espoirs pour une nouvelle édition du très attendu « Libé des Solutions ». Le journal daté des 24 et 25 décembre est ainsi consacré à des initiatives concrètes et constructives, de femmes et d’hommes, d’associations, de personnes et de collectifs qui entreprennent et qui agissent face aux difficultés.

Prendre l’initiative Par François Sergent et Gilles Vanderpooten

L’édito

Nelson Mandela, Stéphane Hessel, Albert Jacquard… Ils nous ont quittés cette année, alors que l’on célébrait Martin Luther King et le 50e anniversaire de son rêve. Porter leurs rêves – de liberté et de justice – dans la réalité, c’est sans doute le dénominateur commun à ces sages qui, tout en luttant contre les atteintes aux droits de l’homme, l’indifférence, les inégalités, ont su aussi s’engager et faire avancer les causes de la justice sociale, de l’écologie ou d’une économie plus humaine. Puisant la résilience dans leur propre expérience – de résistant, d’opprimé, d’accidenté -, ils croyaient d’autant plus en la capacité de l’homme à inventer et à construire.

En écho à ces hommes, d’autres «héros du quotidien» s’illustrent sur le terrain. Ils entendent trouver des «solutions» à leur niveau. A leur manière, solidaire, ils changent la société. Leur discours n’est pas contre la politique ou contre les politiques. Mais, acteurs de la société civile, ils veulent prendre leur vie en main. Leurs programmes, leurs recettes, leurs moyens sont divers. Ils sont porteurs, pour certains, de ce beau nom d’économie sociale qui n’est pas une contradiction dans les termes, mais un secteur vivace et actif. Fabriquer en France tout en se développant à l’étranger, prendre l’initiative dans les quartiers, nourrir la planète sans (trop) la polluer, sortir les enfants de la pauvreté là où l’esclavage persiste, consommer autrement, promouvoir une vision du handicap sans misérabilisme, résister aux mafias… A nous, journalistes qui voulons raconter le monde tel qu’il est, de continuer à nous faire les relais de ces réalités et d’incarner «une info qui donne envie d’agir». C’est bien l’objet de ce Libé des solutions, porté par Libération et Reporters d’Espoirs pour la 7e année. A vous aussi, lecteurs, d’y trouver inspiration pour passer à l’action !

Au sommaire

Une passerelle vers le savoir

Levier . La fondation Culture & Diversité vient en aide aux plus défavorisés.

Death renaît de ses cendres Par Dominique Queillé

Le fairphone, portable éthique et équitable, bientôt disponible Par Apolline Guichet

Café et nourritures en suspens

Le fabricant Raidlight donne dans le tissu collaboratif sur la Toile Par Sibylle Vincendon

1083, le jeans du jardin Consommation . La marque de la Drôme garantit une production locale et bio.

 

Toutes les vertus des surplus
Bonne nouvelle. L’agence du don répartit les invendus non alimentaires Par Sibylle Vincendon

Reportage. Installé à Belleville, ce bureau d’études à choisi de se convertir en société coopérative courant 2009. Une façon d’impliquer les salariés au sort de l’entreprise. Par Léa Lejeune

2014, l’atout solidaire

2014, l’atout solidaire

Avec une deuxième vague d’investissement d’avenir et une nouvelle définition du commerce équitable, l’Etat veut développer le secteur. Par Frédérique Roussel

«L’économie sociale et solidaire produit des biens dont tout le monde bénéficie» Editorialiste à «Alternatives économiques», Philippe Frémeaux a remis un rapport à Benoît Hamon : Par Frédérique Roussel

Tribu, un modèle de Scop

Willy Brandt, un modèle de social-démocratie Par Marc Semo

Handicap et international Depuis 2010, la société Yoola se fait le tour-opérateur des personnes à mobilité réduite. Par Nouara Benaï

Faso Soap, arme antipalu à bas prix Santé . Deux étudiants du Burkina Faso développent un savon antimoustique et antibactérien. Par Anne-Laure Murier

De fil en aiguilles, le sac à sapin fête ses 20 ans Par Sibylle Vincendon

Des repas variés pour les écoliers brésiliens

Loïc Dubié, promoteur du smartphone pour aveugle Par Fabien Soyez

A Paris, La grosse patate a la frite

Boutique . Dans le XIXe arrondissement, cette épicerie qui propose aussi des cours a reçu le trophée de l’économie sociale et solidaire.

Repères. Solidarités nouvelles pour le logement en chiffres

«Une démocratie sociale émerge à côté du Parlement»

«Une démocratie sociale émerge à côté du Parlement»

Interview. Pour le juriste Dominique Rousseau, une refonte constitutionnelle n’est pas une fin en soi. Par Jonathan Bouchet-Petersen.

Armor remonte la barre

Armor remonte la barre

Très mal en point il y a dix ans, l’entreprise nantaise qui produit des rubans d’encre pour imprimantes s’est redressée en misant sur la co-industrialisation. Par Magali Sennane

Le cran des Siciliens

Révoltée par le racket institutionnalisé par Cosa Nostra en Sicile, l’association Addiopizzo a permis l’émergence d’un réseau de commerçants insoumis.Par Anne-Laure Murier

Ungersheim, un éco labo

Centrale photovoltaïque, chaufferie au bois, agriculture bio… Avant-gardiste, le village alsacien vit déjà au rythme de l’après-pétrole.

Libé des solutions : demain chez votre marchand de journaux !

By L'actu de Reporters d'Espoirs, Les opérations médias, Partenaires médiasNo Comments

Pour la 7e année, Libération s’associe à Reporters d’Espoirs pour une nouvelle édition du très attendu « Libé des Solutions ». Le journal daté des 24 et 25 décembre est ainsi consacré à des initiatives concrètes et constructives, de femmes et d’hommes, d’associations, de personnes et de collectifs qui entreprennent et qui agissent face aux difficultés.

 

Quoi ?

Au sommaire du Journal : des reportages, des portraits, des news, des événements sur…

  • Un réseau de commerçants qui luttent contre la mafia en Sicile,
  • Une entreprise nantaise qui mise sur la co-industrialisation pour créer de l’emploi en France,
  • Ou encore un appartement sans caution ni fiche de paie…

Et aussi : un village en transition, des smartphones solidaires, une économie sociale qui change d’échelle, un labo pour l’agriculture du futur…

Autant de sujets « porteurs de solutions » à retrouver, dès demain, dans Libération !

 

Quand ? Mardi 24 et mercredi 25 décembre 2013

Où ? En kiosque (journal) et sur www.liberation.fr (version numérique)

Combien ? 1,60 € le journal.

Mes Mains en or : des outils pour l'apprentissage de la lecture des enfants déficients visuels

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Les enfants déficients visuels n’ont pas accès à la lecture. Or nous savons que beaucoup d’apprentissages passent pas la lecture, les images.

Caroline Chabaud a créé Mes mains en or, d’abord pour aider sa fille Domitille qui a perdu la vue à l’âge de 2 ans.

« Ma fille a perdu brutalement la vue à l’âge de 17 mois alors qu’elle était en pleine exploration du monde, notamment par ses livres et ses jouets. J’ai très vite cherché ce qui pourrait être adapté pour elle et j’ai été très déçue de voir qu’il existait peu de choses et à des prix très élevés. J’ai donc tout de même investi dans du matériel spécialisé pour déficients visuels,  puis j’ai été très vite limitée.  Je me suis donc mise à créer moi-même des livres. Ces créations ont eu immédiatement du succès. De là est née l’idée de l’association Mes mains en or afin de faire profiter les autres enfants déficients visuels de mon savoir-faire. » explique Caroline.

« Pour cela, nous utilisons des images en relief, différentes textures, des gros caractères, du braille. Les livres sont trés colorés pour stimuler les restes visuels des enfants malvoyants et peuvent ainsi s’adapter à tous les enfants. Par ailleurs, des albums en audio sont prévus pour 2014.« .

Tous les adhérents à l’association ont à leur disposition une bibliothèque et une ludothèque spécifique et peuvent emprunter des ouvrages et des jeux. Des créations sont possibles grâce aux dons reçus et sont disponibles à la vente aussi bien aux professionnels qu’aux particuliers.

A ce jour, plus de 800 albums ont été fabriqués et diffusés, soit 9 titres.

Plus d’infos ICI

Pierre Pavy : il offre dans son restaurant un vrai repas pour les plus démunis

By Revue de presse, SociétéNo Comments

A Grenoble, Pierre Pavy offre des repas de Noël aux plus démunis et des menus à un euro chaque samedi. Il est patron du restaurant Le 5 et du Caffé Forte à Grenoble et se définit comme un restaurateur militant.

Depuis douze ans, il mène différents projets dans l’agglomération afin de venir en aide aux plus démunis. Il tient cette philosophie depuis un séjour en Asie mineure : « Il y a quarante ans, j’étais en Afghanistan et j’ai jeté un morceau de pain. Un Afghan est arrivé et m’a injurié. « On ne jette pas le pain par terre », m’a-t-il expliqué. J’ai compris le message: quand on a un morceau de pain en trop, il peut toujours servir à quelqu’un d’autre. »

Depuis 12 ans, son « vrai » repas de Noël, offert aux plus démunis, rassemble près de 80 personnes en moyenne.

Après cette belle initiative, ce restaurateur engagé a eu une riche idée : proposer des repas à 1 euro pour les plus démunis, tous les samedis, au sein de son second restaurant, le Cafè Forté.

« C’est en discutant avec la présidente de l’association Accueil SDF (ASDF) que nous avons appris qu’il n’existait aucun service de repas ce jour-là. Nous avons donc décidé d’ouvrir le restaurant spécialement pour eux« , explique-t-il.

A partir du jeudi, les personnes démunies peuvent s’inscrire auprès de l’association ASDF en réglant une contribution « symbolique » de 1euro. En échange, le Café Forté sort ses plus belles nappes ainsi que ses couverts en porcelaine pour proposer le samedi une formule entrée-plat-dessert et café qui évolue en fonction de la marchandise achetée, et de l’inspiration des cuisiniers. « Ce sont des clients comme les autres. J’achète moi-même la marchandise auprès de mes fournisseurs et je règle la différence, de l’ordre de 4 euros par personne environ. C’est un peu mon geste pour la société« , résume Pierre Pavy.

« A raison d’une trentaine de personnes chaque samedi, nous sommes arrivés à toucher pas moins de 800 personnes entre octobre 2012 et avril 2013 », estime Anna Lavedrine, présidente de l’association ASDF.

A travers une nouvelle initiative, il souhaite, en plus, sensibiliser la population au gaspillage alimentaire : « Nous voulons récupérer dans les grandes surfaces les aliments qui arrivent à date limite de consommation, en faire des plats préparés et les reconditionner sous vide ou sous forme de plats surgelés. Grâce à cette initiative, nous pensons pouvoir apporter entre 5000 et 10.000 portions de repas par mois pour l’agglomération grenobloise. » explique-t-il.

 

Plus d’infos sur le restaurant ICI

Reporters d’Espoirs, partenaire d’IMS Entreprendre pour la cité sur le « Guide sur l'égalité professionnelle femmes-hommes »

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Reporters d’Espoirs est partenaire d’IMS Entreprendre pour la cité sur le « Guide sur l’égalité professionnelle femmes-hommes ».

Il veut évoquer ce sujet d’une manière originale, en offrant notamment une large place au dessin.

Reporters d’Espoirs a rédigé un article de prospective sur ce que pourrait être l’égalité femmes-hommes dans 50 ans, à travers le cas d’une famille fictive.

Teaser :  « 2063, une journée dans la vie d’une famille ordinaire. Elle est commandant de bord, il est assistant de direction. Elle bosse beaucoup et gagne un bon salaire, il a des horaires aménagés et s’occupe de leurs enfants. Bienvenue chez Olympe et Nicolas. »

La suite à découvrir en page 63 du guide à consulter ou télécharger ici

Récupérer l'urine des passants pour le changer en engrais naturel !

By Environnement, Revue de presseNo Comments

Aux Pays-Bas, faire ses besoins dans la rue participe à l’économie circulaire. La municipalité d’Amsterdam vient d’installer des pissotières urbaines qui récupèrent l’urine… afin d’en faire de l’engrais.

À l’origine du projet : les importants dégâts causés par l’accumulation du phosphore contenu dans l’urine sur les canalisations. « Quitte à l’enlever, nous nous sommes demandés si nous ne pouvions pas en faire quelque chose », raconte Peer Roojiman, responsable du traitement des eaux usagées de la ville. Le phosphore, qui fait partie des éléments de base de la plupart des engrais, est nécessaire à tout ce qui vit sur Terre, mais ses réserves sont limitées, et commencent à s’épuiser.

« Comme tout le monde en rejette chaque jour en allant aux toilettes, nous avons envisagé le récupérer. » Plutôt que de terminer aux égouts, le réseau de traitement installé sur ces urinoirs écologiques passe par un collecteur qui extrait phosphores et nitrates du précieux liquide.

Ces éléments permettent de fabriquer du struvite, un cristal blanc dont les propriétés fertilisantes sont éprouvées depuis le XIXè siècle. L’engrais est ensuite distribué à des fermes locales. La mairie estime que l’équivalent de 10 000 stades de foot de terres agricoles pourrait être fertilisé si la pratique se généralisait dans la ville.

Aller au petit coin sera demain un acte écologique.

Le "journalisme d'impact", ou comment donner envie d'agir [L'Express]

By Le LabNo Comments

Confrontés à une manière d’informer qui risque de devenir contreproductive à force d’être anxiogène, les journalistes peuvent aussi donner envie d’agir. L’association Reporters d’Espoirs défend cette approche. Témoignages.
Par Hugo Chabeur et Gilles Vanderpooten, journalistes à Reporters d’Espoirs, publié le 12/12/2013.

Accidents, échecs, crimes sont les invités privilégiés des journaux d’actualités. Aujourd’hui, des informations sans tragique ni sensationnel sont-elles encore des « news« ? Le journalisme peut-il se contenter de traduire la morosité ambiante? La profession est en général dubitative quant au traitement du côté positif du monde. Mais, sans tomber dans le travers inverse qui consisterait à ne communiquer que de bonnes nouvelles, elle peut mettre en lumière les femmes et les hommes qui prennent l’initiative face aux difficultés et qui obtiennent des résultats.
C’est ce à quoi oeuvre l’association française Reporters d’Espoirs, depuis près de dix ans, en France, avec des confrères toujours plus nombreux au-delà des frontières. Pour un constat partagé: aux journalistes qui sont le miroir de la société de se faire aussi les relais de cette part de la réalité, en portant chacun dans leur média une vision plus équilibrée du métier de l’information. […]

Pote-emploi.fr, le réseau solidaire pour trouver du boulot

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Aujourd’hui en France, les jeunes sont parmi les plus touchés par le chômage (24,5% parmi eux en décembre 2013).

Décrocher un emploi relève souvent du défi. Une galère encore plus marquée pour les moins diplômés et ceux qui n’ont pas eu la chance de bénéficier d’un bon réseau professionnel. Face à cette situation, Pote Emploi propose une plateforme d’échange et d’entraide, favorisant l’accès à l’emploi des jeunes les moins favorisés et les moins diplômés ainsi que la mixité sociale en faisant se rencontrer des jeunes d’horizons différents.

Cette plateforme encourage les jeunes, étudiants ou travailleurs, à tendre la main à d’autres jeunes moins favorisés ou moins diplômés pour les aider à accéder au marché de l’emploi en discutant avec eux de leur parcours ou de leur métier, en les aidant à rédiger CV et lettres de motivation, et à préparer les entretiens ou en leur faisant partager leur réseau professionnel.

1300 jeunes de moins de 30 ans ont déjà cliqué sur « Je deviens pote » sur ce site lancé en avril, qui deviendra pleinement opérationnel en janvier 2014.

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Vivre ensemble, entre richesse et pauvreté, par quels chemins avancer vers un changement ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Le Conseil économique social et environnemental  donne à nouveau rendez vous approfondit la réflexion sur le vivre ensemble le 5 décembre 2013 au Palais d’Iéna pour la troisième édition du Forum du Vivre ensemble cette année sur le thème «entre richesse et pauvreté».

La pauvreté ne peut pas être définie comme un état quantitatif en elle-même, mais seulement par la réaction sociale qui résulte d’une situation spécifique. Georg Simmel.

Alors que les inégalités s’accroissent, qu’existent de plus en plus distantes l’une de l’autre, la France des riches et celle des autres, que cohabitent bien souvent arrogance et ignorance de l’autre, quand ce n’est pas colère et incompréhension … par quels chemins avancer vers un changement ?

Cette question sera traitée sous ses différents aspects : santé, sécurité, disparités, bonheur, possession, créativité…
Pendant une journée entière, conçue en collaboration avec le philosophe Roger-Pol Droit, qui conduit les débats, des exposés, témoignages et forums contradictoires feront dialoguer chercheurs, décideurs, conseillers du CESE, mais aussi lycéens, étudiants et internautes.

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Baguette en attente, une idée simple pour les plus dépourvus

By Revue de presse, SociétéOne Comment

Baguette en attente, c’est la transposition française du concept italien du « café suspendu ».

C’est un grand mouvement de générosité qui consiste à offrir aux plus démunis des baguettes de pain prépayées par un client anonyme.

«Suspendues, ça veut dire à disposition pour des gens qui sont dans le besoin», explique Noël Capron, 57 ans. Il a lancé depuis fin octobre 2013 ce concept de «baguettes suspendues» dans sa boulangerie «A la recherche du pain perdu», au 5 rue de la Cour des Aides, dans le quartier Saint-Pierre à Bordeaux.

C’est un de ses amis qui lui a donné l’idée. Il tient le bar «chez Fred», place du palais, et propose des cafés suspendus depuis cinq mois environ. «Le pain c’est un produit de base et c’est encore moins cher qu’un café, alors je me suis dit que j’allais faire pareil. En plus, pour moi c’est une bouffée d’air frais car mon métier est très répétitif. Et je me dis que ça sert à quelque chose », raconte le boulanger.

Le compte des baguettes suspendues et de celles récupérées est inscrit sur une grande ardoise, affichée à la vue de tous. « C’est une super idée qui peut aider ceux qui n’ont pas d’argent», commente François, 27 ans, qui décide de contribuer à l’opération. La boulangère dépose alors ses 0,95 cents dans un bocal, sur le comptoir. L’idée ce n’est pas que les clients donnent systématiquement mais une fois de temps en temps.

En novembre 2013, 23 boulangeries réalisent cette démarche. «Le but c’est que ce soit repris par d’autres, comme les cafés suspendus qui se répandent un peu», espère Noël Capron.

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